on sait déjà pas mal de chose !filipe a écrit :que c'est la faute du travail fait par l'homme s'il n'y à toujours pas de truffes . Je veux bien, mais le plus simple serait de dire qu'on ne sait rien et de tout remettre à plat, en gros repartir de zéro et revoir les directions de travail à prendre .
filipe
il faut "infecter " une jeune plante hôte avec le mycélium de la truffe ;
pour cela ,il y a le plant myco (mais certains continuent à semer des glands en pleine terre avec tous les autres mycéliums compétiteurs présent dans le sol =un peu comme une partouze dans le lit nuptial le soir de la nuit de noce=>aucun contrôle possible )
on sait déjà pas mal de chose !
en sur-mycorhizant autour du plant à la plantation ,on crée un nid autour du plant mycorhisé favorable à la conservation des qualités du plant et un rattrapage possible des plants non contaminés.
=>on augmente le % de plante hôte ayant la myco truffe
(certain ne le font pas ,tous en sachant que dans les lots de plants y en a des "vierges '(contrôle statistique)
on sait déjà pas mal de chose !
en ne travaillant pas toute la parcelle ,on évite de disséminer et de favoriser les
autres mycélium contaminant
on sait déjà pas mal de chose !
en travaillant juste le sol autour du plant ,on favorise le suivi lent du mycélium de truffe sur les racines du plant.
(pourtant certains travaillent toute la parcelle ,en ameublissant tout le sol ,ils permettent aux autres mycéliums d'aller au rendez vous plus rapidement)
on sait déjà pas mal de chose !
on sait que les truffes se forment mieux et en plus grand nombre prés des racines d'un certains âge
pourtant peu de nous ont une technique de "culture" pour reformer ses racines jeunes vers l'intérieur du brulé,on se contente souvent de suivre le mouvement naturel d'apparition des truffes vers la bordure extérieur du brulé !!?? (sauf galistruffes )
etc etc