Parmi vous, certains ont-ils un peu de recul sur le travail du sol sous des arbres qui donnent de l'aestivum.
Je suis entrain d'aménager un coin qui ne donnera jamais de mélano (sol contaminé, impossibilité d'amener 20 mm tous les 20 jours) que je verrais bien produire soit de l'aestivum, soit de la brumale.
Mais je ne sais pas trop quand travailler pour favoriser la naissance, la croissance et le développement d'aestivum.
Si quelqu'un a des idées...
Fred
Période de travail pour Aestivum?
Modérateurs : jacques 37, galistruffe, phil, uncinat55
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Si tu as le choix fait de la brumale , le prix et possibilitée de vente sont bien meilleur ?pour le travail de l aestivum , je travaille une petite place (60 arbres producteurs )depuis 6 ans , je grifone en septembre ou octobre et je taille en novembre .Je le fait a cette époque parce que j ai pas le temps autrement mais en tout cas cela ne dérange en rien la production qui est tres réguliere (juillet et aout ) .jerome
Merci, en fait, je n'ai rien choisi pour le moment. J'aménage un bois plutot clairsemé avec de vieux arbres très élevés que je pense passer aux disques après apport de chaux. Ensuite, en fonction de ce qui va sortir, je pourrais rajouter quelques plants soit aestivum, soit brumale dans les trous entre les arbres.
Mais comme je ne veux pas compromettre ni l'une ni l'autre, je prenais la température pour pas faire de bétises.
Voili voilu voilà. Merci.
Fred
Mais comme je ne veux pas compromettre ni l'une ni l'autre, je prenais la température pour pas faire de bétises.
Voili voilu voilà. Merci.
Fred
Bonjour melano,
Tu dis "sol contaminé", mais par quoi ?
J'ai défriché des parcelles "contaminées" à la mélano et à la brumale. Deux ans plus tard, j'ai eu la chance de voir ma chienne creuser une mélano là où je n'imaginais voir qu'une aestivum, et encore...
Sinon, par ici, j'ai entendu dire qu'il fallait travailler les brûlés d'aestivum fin aout début septembre en prenant soin de ramener un peu de terre sur la bordure périphérique du brûlé.
J'ai tenté de travailler une partie des brûlés d'aestivum il y a deux ans (les zones que je connaissait comme productives). Là ou j'ai trouvé le plus de truffes ensuite c'était là où le sol n'avait pas été touché. Alors, je ne cherche plus à m'embêter pour ça.
Il y a trois ans, j'avais tenté le griffon sur une paire de bonnes places à brumale et 3 ou 4 places à aestivum (qui n'avaient jamais été travaillées). Depuis, plus rien. Alors, encore une fois, chez moi, je préfère y aller doucement. Le sol n'est sans doute pas "habitué" à être trop labouré.
Tu dis "sol contaminé", mais par quoi ?
J'ai défriché des parcelles "contaminées" à la mélano et à la brumale. Deux ans plus tard, j'ai eu la chance de voir ma chienne creuser une mélano là où je n'imaginais voir qu'une aestivum, et encore...
Sinon, par ici, j'ai entendu dire qu'il fallait travailler les brûlés d'aestivum fin aout début septembre en prenant soin de ramener un peu de terre sur la bordure périphérique du brûlé.
J'ai tenté de travailler une partie des brûlés d'aestivum il y a deux ans (les zones que je connaissait comme productives). Là ou j'ai trouvé le plus de truffes ensuite c'était là où le sol n'avait pas été touché. Alors, je ne cherche plus à m'embêter pour ça.
Il y a trois ans, j'avais tenté le griffon sur une paire de bonnes places à brumale et 3 ou 4 places à aestivum (qui n'avaient jamais été travaillées). Depuis, plus rien. Alors, encore une fois, chez moi, je préfère y aller doucement. Le sol n'est sans doute pas "habitué" à être trop labouré.
Dernière modification par Philippe le 14 nov. 2007 22:56, modifié 1 fois.
Jusqu'à maintenant, dans ce coin de bois clairsemé occupé par un immense buisson de ronces et de buissons noirs, je n'ai rien trouvé. Mais un peu plus loin, je trouve tous les automnes des champignons style lactaires et autre joyeuseté.Tu dis "sol contaminé", mais par quoi ?
Donc, je crains le pire. Mais bon, j'ai vu des rénovations telle que celle que j'ai entreprise se solder par de belles récoltes de brumales. Alors, je tente le coup. Hier, j'ai passé le gyrobroyeur où j'ai pu passer. Il me reste encore à couper qques arbres et buissons dans les bordures, chaulage et un coup de disques pour remuer un peu le sol et couper les racines.
Mon voisin aussi à tenté de travailler un coin à brumales sauvages pour essayer d'avoir des truffes plus grosses mais cela s'est aussi soldé par un arrêt de la production. J'ai l'impression que la trufficulture et l'informatique ont un point en commun : lorsque ça marche, on change rien.
Fred