Bonjour,
enfin on descend au niveau du champignon. Et hop de suite, on trouve...
Par exemple que la truffe est sexuée. Il faut un + et un - pour que la reproduction sexuée ai lieu. On regarde dans les pots ben des fois, il n'y a que + ou que -. Bilan, on a des arbres stériles.
Souvent sur un même arbre, on ne trouve que des mycos + ou que des mycos -. Le signe opposé n'est pas sous forme de mycos alors qu'il produit ==> signe opposé ailleurs (sol? , plantes associées?).
Les spores participent activement à la mycorhization dans les pots.
Les truffes sont bien plus polymorphes qu'on pensait. Leurs qualités organoleptiques reposent en partie sur leur génome. Il existe donc différentes souches de truffes qui peuvent avoir des arômes plus ou moins puissants.
Bref tout un tas de chose qui confirment le bien fondé du réensemencement par exemple ou l'utilisation de doublons (pour avoir un pied + et un pied - à proximité) ou encore l'utilisation de souches de truffes locales.
Fred
génome de la truffe noire du Périgord
Modérateurs : jacques 37, galistruffe, phil, uncinat55
toujours le casse pied du 84,je voudrais surmicorhyser ma plantation de l'annee derniere, d'apres ce que tu dis je vais demander a un collegue qui a le meme sol ,qu'il me vende quelque truffes bien mures ,mais cela ne risque t'il pas de contrarier la micorhysation existante . Moi mes melanos sont a 15 km sur un sol rouge trés different de ma nouvelle plantation qui elle a toujours des cailloux mais terre blanche...