C'est un beau principe, l'agroécologie, mais combien s'installent?
Ils ne sont qu'une poignée à le faire, à avoir le courage de s'installer, de travailler sans compter ses heures pour un salaire à peine supérieur au SMIC, quand tout va bien.
Un grand bravo à ceux-ci.
J'ai moins d'admiration pour ceux qui publient des livres et font des conférences sur le sujet, sans jamais avoir manié la pelle ou la bêche, pour des salaires confortables......
Ils sont pour moi les généraux d'une armée de soldats qu'ils envoient "au front" en restant eux à l'abri "à l'arrière des lignes"

Pour que cela se développe, il faudrait que l'on puisse en retirer un salaire en rapport avec le travail que l'on fourni et les risques que l'on prend, ce n'est pas le cas en ce moment.
Michel.