Merci Truffalou pour cette recherche
Et comme l'écrit Fred, aucune conclusion n'est possible à ce stade de recherche. Je pense que nous sommes encore loin de tout comprendre, alors arriver à maitriser
Mais il faut reconnaitre que nos chercheurs s'accrochent, un peu comme la mycorhize au racinaire
très instructif truffalou
ceci ouvrent encore bien des questions qui ne sont pas seulement culturale car dans les cas présents la nature a permit un brassage du père et de la mère!
la capacité du vivant du sol conditionne la prolifération des spores et sa dissémination en sont milieu
grâce a des auxiliaires vivant ...
alors je peux pas résister a compliquer un peu plus le chmililiblic avec la pièce jointe suivante
Maintenant il va falloir en plus vaporiser des spores sur le feuillage.
C'est pour cela aussi qu'il vaut mieux conserver les branches basses, l'idéal étant qu'elles touchent le sol; ainsi les insectes rampants peuvent aussi transporter les spores sur les feuilles pour qu'elles germent
ce qui va au contraire des tous ce que l on nous racontes , ils disent de faire rentrer le soleil au pied !
moi je pense que le soleil doit être au pourtour du houppier et les branches basse jouer un rôle de régulateur thermique et écologique pour les petites bêtes qui travaillent cet équilibre ..
Bonjour,
C'est peut être pour ça que certain, après avoir cavé la truffe et avant de reboucher le trou, enfouissent une poignée de feuille dans le trou ?
Houra26
bonsoir jjr24
j ai retenu que les feuilles mortes tombées au sol servaient de pont ou voire d autoroute au filament germe des spores mâles et femelles ...
je suis tombe presque par hasard sur ce document et c est dommage car j aurais bien voulu connaitre la suite de l article.....
D'un autre côté s'il faut en croire les études de M. de
Grammont de Lesparre sur les spores des truffes *, ces
cryptogames auraient des spores mâles et des spores
femelles ; ces spores seraient transportées du sol après
décomposition de la truffe sur les feuilles des arbres
sous lesquels on les trouve, notamment des chênes, par
les insectes tubérivores^ au moyen de leurs pattes et de
leurs ailes, sur la surface de la feuille; là ces spores
germeraient, émettraient des filaments qui pénétre-
raient d'avril-août par les stomates dans le limbe ; à
l'extrémité de ces filaments mâles et femelles il se pro-
duirait une pseudo-spore, et à leur rencontre naîtrait
une sporule noire, dure, luisante, qui serait un œuf. Pen-
dant l'hiver de novembre-décembre la fécondation aurait
généralement lieu sur la feuille tandis qu'elle serait
sous-épidermique d'avril à octobre. Cette fécondation
ne semble pas, dit M. de Lesparre, pouvoir s'effectuer
ailleurs que sur les feuilles. Suivant le môme auteur
elle est indispensable car tous les essais de semences
faits au dehors et dans toutes sortes de milieux, jamais
on a vu la spore germer; elle ne germerait par
conséquent pas en terre. D'après ces faits la trulTe
serait donc une plante hétérogame et ses spores des
gamètes:
Les œufs qui résultent de la fécondation tombant à
terre avec ou sans les feuilles engendreraient le mycélium
truffier.
Merci truffadoux! "...des spores mâles et des spores femelles..." ils en parlaient déjà!
Je n'ai pas trouvé le prix? mais j'ai vu qu'il existait 33 thèses liées à la truffe; certaines surprenantes, toutes curieuses à lire,avis perso ; (mot-clé: truffes); http://www.theses.fr/