Mélano aussi mais c est toujours bizarre la largeur des veines aérifères ainsi que la couleur de la gléba un peu comme la mienne Avec le rouge qui apparait sous le périum qui semble mince avec de petites écailles pas facile l'ornementation des spores et le nombre par asque semble bien correspondre a mélano va falloir faire des tombolas pour tout envoyer chez alcina
rabase a écrit :Mélano aussi mais c est toujours bizarre la largeur des veines aérifères ainsi que la couleur de la gléba un peu comme la mienne Avec le rouge qui apparait sous le périum qui semble mince avec de petites écailles pas facile l'ornementation des spores et le nombre par asque semble bien correspondre a mélano va falloir faire des tombolas pour tout envoyer chez alcina
Car au premier coup d'oeil tu dis brumale de suite
uncinat55 a écrit :On continue pour une truffe ??? " de jacques37 "
Merci Yves, superbe photo
Mais le suspens n'est pas terminé.
Elle est bien au frais isolée dans le congélateur.
je ne l'utiliserais pas pour apport sporal au cas ou la taille soit un caractère héréditaire.
Principe de précaution.
Oui Michel, même réflexe pour moi, mais je voudrais bien comprendre si réellement c'était une mélano. Il va falloir aller plus loin dans la recherche de la vérité .....
je vous, rappelle qu il existe un moyen infaillible de différencier mélano de brumale avec le simple dos d'un couteau .la mélano , n a pas de membrane entre le peridium et la glébe tout au contraire de brumale .il suffit donc de gratter légèrement la peau de la truffe avec le dos d un couteau , la brumale se pèlera intégralement alors que le peridium de mélano s usera jusqu a ce que la gléba apparaisse .jerome
tout a fait d'accord, il n'y a rien de plus simple de distinguer mélano de brumale quand on les a en main (si truffe saine).
c'est pour cela qu'avec 2 contrôleurs qui l'ont eu et qui ont dit mélano ca valait toutes les photos de coupe et de spores sur lesquelles on pouvait débattre.
mais l'analyse derrière sort brumale => il y a un sévère problème côté contrôleurs (ou côté analyse?)
Seb
contrairement au doute, seule la certitude rend fou
galistruffe a écrit :je vous, rappelle qu il existe un moyen infaillible de différencier mélano de brumale avec le simple dos d'un couteau .la mélano , n a pas de membrane entre le peridium et la glébe tout au contraire de brumale .il suffit donc de gratter légèrement la peau de la truffe avec le dos d un couteau , la brumale se pèlera intégralement alors que le peridium de mélano s usera jusqu a ce que la gléba apparaisse .jerome
J'ai eu vu des Brumales de plantation et de grosses tailles qui avait le péridium qui résistait relativement bien au grattage.
Les controleurs sont pas assez exigents envers eux ,a qu elle niveau de taille de marbrure on peut accepter de classer ou pas melano ,brumale ou brumale musque ou meme une autre .
Moi je suis sur que l on serait surpris des avis ,il y a que voir ce qui c est passe il y a pas lomgtenps .
Et pourtant c est pas des debutants ..
Tant que d essayer d identifier les spores pour donner un pseudo verdict ,alors la attention on est pas au bout de certaines mauvaises surprise..
D aillieur ces mauvaises surprises tu les retrouves souvent queques annees apres au pieds des nouveaux chenes...
arcadius a écrit : attention on est pas au bout de certaines mauvaises surprise..
Quel est ton conseil?
Analyse ADN systématique pour chaque truffe utilisée pour l'ensemencement?
C'est concevable, à condition de n'utiliser que de très gros spécimens (500gr ou plus). Sinon le coût est prohibitif.
Ou ne pas ensemencer pour ne pas risquer d'apporter brumale?
on n'a pas besoin d'aller jusqu'au test ADN. Dans 95% des cas, même sur les truffes gelées / congelées, les critères d'identification sont clairs et nets. Cela permet de trier les truffes efficacement. Le taux d'erreur est insignifiant.
Ensuite, dans les 5 % qui restent si le doute est permis, on déclasse la truffe et on ne l'utilise pas pour l'ensemencement.
De toute façon, les spores de brumales sont dans le sol au même titre que celles de centaines d'espèces de champignons. Il faut s'attacher à ne pas leur faire un milieu favorable.
bonjour a tous . on a tous raison. il est évident que pour la vente les éxigences ne sont pas les mêmes que pour la surmyco, et les différences entre mélano et brum sont parfois délicates a percevoir, et la, le truffic met son produit en valeur ainsi que sa crédibilité. donc l'erreur ne doit pas avoir sa place. la jérome nous donne une façon quasiment sure pour ne pas se tromper,en plus du canifage, et de plus je pense la meilleure.quant l'erreur pour la surmyco, une mélano apres congel perd ses traces de voies aerifères et donc la gléba prend une teinte ou noire ou grise selon la date de cavage, alors que la brum conserve le trace du maillage de celles ci, et la pas d'erreur possible.jea-jacques
l'homme jeune va beaucoup plus vite que l'homme agé, mais l'homme agé connait le chemin !
Fabrice avec la méthode de Jérôme il n'y a même pas besoin de regarder la gleba les veines et encore moins les spores....
et si il y a doute (en cas de truffe gelée ou pourrie, ca peut dans quelques rares cas être moins évident) on tombe souvent sur un peridium qui se détache à tort mais dans ce sens là "tout va bien", on n'utilise pas la truffe pour de l'ensemencement mélano...
Seb
contrairement au doute, seule la certitude rend fou
bonsoir a tous hier ouverture d'un cv en doublon issu de ag-tr 1998 .trois fotos car je ne sais pas de quel côte me tourner melan ou brum. profondeur 10cm. a plus jj-
Pièces jointes
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