claude murat a fait un tres bel article sur les differente population sur une meme zone et plusieur année
Bon, c'est cool, si quelqu'un a cet article qui traine ou juste le titre, on pourra y jeter un oeil attentif.
j ai envoyé cette année plus de 20 truffes a systruffe via mon syndicat , que des truffes en nids collées ou pas pour voir , j ai meme envoyé deux trufes d un pubessant de 3 ans distante de 8 cm on verra bien mais la solution est ailleur
C'est comme ça qu'on progressera. En analysant les truffes dans différentes zones. Je verrai bien aussi une manip visant à introduire des truffes d'un génotype différent (allèles de la populations italienne par exemple) dans une zone avec des individus de génotype connu (allèles sud-ouest de la France par exemple). Et qu'on regarde ce que ça donne. On verrait bien le rôle des spores dans ce cas.
pour observer ton brulé regarde en limite c est plus dur mais cela fonctionne et pour chercher les truffettes regarde pile ou tu en trouvé l an passé
Merci du tuyau. Pour les brûlé et leur évolution, j'ai laissé qques arbres témoins avec de l'herbe. Je me baserai sur eux. Et je vais déterminer à l'avance les secteurs sur lesquels je vas prélever le sol pour la recherche des truffettes en fonction des sites de récoltes de cette année.
De ces deux fait et considérant l'hypotèse énoncée, il en découle que le premier des deux mycéliums à être mêre prend l'ascendant sur l'autre.....
Ton explication est très rationnelle Joël et elle est intellectuellement satisfaisante. L'avantage d'un mating type sur l'autre n'est pas le fait du hasard. Il y a derrière nécessairement un gène qui confère un avantage qui est représenté sous un allèle dominant les autres et qu'on retrouverait si on le cherchait après l'avoir identifié chez toutes les mères. Cela ne peut être le gène du mating type qu'on observe mais qui' n'est pas responsable de la présence de tel ou tel type.
Pour M A Selosse, la répartition en zone de même mating type n'est qu'une conséquence de la présence d'un autre gène qui serait situé juste à proximité du gène du mating type sur le même chromosome et qui serait directement responsable de la prédominance de tel ou tel individu sur les racines.
Ce n'est qu'un hypothèse qui sera très difficilement vérifiable mais qui aurait le mérite de relativiser l'importance du mating type dans la répartition des individus. Car ce gène ne doit pas y être pour grand chose car on a des zones 1 1 1 et des zones 1 2 1.
Mais ton explication sur la prédominance d'un type de mycélium sur les racine est séduisante.
Fred