expérimentation "trous à truffes "
Modérateurs : phil, uncinat55, jacques 37, galistruffe
Re: expérimentation
Bonjour,
Je comprends mieux, plusieurs paramètres sont pris en compte!
Traduction automatique
La gamme d'eau non limitative ( NLWR ) représente la gamme de la teneur en eau dans le sol où les limites à la croissance des plantes (comme le potentiel hydrique , la porosité à l' air ou la résistance du sol) sont minimes. John Letey (1985) de UC Riverside a introduit le concept NLWR dans une tentative d'intégrer plusieurs propriétés physiques associées à la croissance des plantes ou des racines pour affiner le concept de capacité d'eau disponible . Alvaro Pires da Silva, Bev Kay. et Ed Perfect ( Université de Guelph , Ontario) (1994) a affiné le concept et l'a appelé la plage d'eau la moins limitative (LLWR).
La limite supérieure (partie humide) du LLWR est déterminée non seulement à la teneur en eau à la capacité du champ (FC), mais aussi à la capacité de fournir une aération adéquate pour les racines des plantes (généralement considérée comme une porosité minimale à l'air de 10%). La limite supérieure est alors définie comme:
min q {porosité à l'air = 0,1, FC}.
Plutôt qu'une porosité remplie d'air à 10%, LaoSheng Wu de UC Riverside a proposé une teneur en humidité où le taux de diffusion de l' oxygène gazeux ODR était de 0,2 micro-g / cm2 / min comme critère pour un état d'aération satisfaisant.
La limite inférieure (extrémité sèche) n'est pas seulement limitée au point de flétrissement permanent (PWP) mais aussi à la capacité de pénétration des racines. Ceci est mesuré comme la résistance mécanique du sol prise à une valeur arbitraire, disons une pénétration à 3 MPa. La limite inférieure est définie comme:
max q {résistance mécanique = 3 MPa, PWP}.
Voir également
Énergie intégrale
Planification de l'irrigation
Facteur limitatif
Equivalent d'humidité
Stress d'humidité
Fonction de pédotransfert
Continuité de l'atmosphère des plantes du sol
Références
Da Silva AP, Kay BD et Perfect E 1994 Caractérisation de la gamme d'eau la moins limitative des sols. Soil Sci. Soc. Un m. J. 58, 1775-1781.
Letey J 1985 Relation entre les propriétés physiques du sol et la production végétale. Adv. Soil Sci. 1, 277-294.
Dernière modification il y a 2 ans par Me, Myself, and I are Here
Le contenu est disponible sous CC BY-SA 3.0, sauf indication contraire.
Depuis:
https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q ... _eG13ne9h9
JJR24
Je comprends mieux, plusieurs paramètres sont pris en compte!
Traduction automatique
La gamme d'eau non limitative ( NLWR ) représente la gamme de la teneur en eau dans le sol où les limites à la croissance des plantes (comme le potentiel hydrique , la porosité à l' air ou la résistance du sol) sont minimes. John Letey (1985) de UC Riverside a introduit le concept NLWR dans une tentative d'intégrer plusieurs propriétés physiques associées à la croissance des plantes ou des racines pour affiner le concept de capacité d'eau disponible . Alvaro Pires da Silva, Bev Kay. et Ed Perfect ( Université de Guelph , Ontario) (1994) a affiné le concept et l'a appelé la plage d'eau la moins limitative (LLWR).
La limite supérieure (partie humide) du LLWR est déterminée non seulement à la teneur en eau à la capacité du champ (FC), mais aussi à la capacité de fournir une aération adéquate pour les racines des plantes (généralement considérée comme une porosité minimale à l'air de 10%). La limite supérieure est alors définie comme:
min q {porosité à l'air = 0,1, FC}.
Plutôt qu'une porosité remplie d'air à 10%, LaoSheng Wu de UC Riverside a proposé une teneur en humidité où le taux de diffusion de l' oxygène gazeux ODR était de 0,2 micro-g / cm2 / min comme critère pour un état d'aération satisfaisant.
La limite inférieure (extrémité sèche) n'est pas seulement limitée au point de flétrissement permanent (PWP) mais aussi à la capacité de pénétration des racines. Ceci est mesuré comme la résistance mécanique du sol prise à une valeur arbitraire, disons une pénétration à 3 MPa. La limite inférieure est définie comme:
max q {résistance mécanique = 3 MPa, PWP}.
Voir également
Énergie intégrale
Planification de l'irrigation
Facteur limitatif
Equivalent d'humidité
Stress d'humidité
Fonction de pédotransfert
Continuité de l'atmosphère des plantes du sol
Références
Da Silva AP, Kay BD et Perfect E 1994 Caractérisation de la gamme d'eau la moins limitative des sols. Soil Sci. Soc. Un m. J. 58, 1775-1781.
Letey J 1985 Relation entre les propriétés physiques du sol et la production végétale. Adv. Soil Sci. 1, 277-294.
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JJR24
Re: expérimentation
Oui, c'est ça JJR24, la gamme d'eau la moins limitative des sols. C'est ce qui doit plomber Truffou, soit dans le dur, soit dans l'humide avec le manque d'oxygène.
C'est Da Silva qui est à l'origine de cette notion. J'espère que Culturtruf va nous démerder ce problème.
Fred
C'est Da Silva qui est à l'origine de cette notion. J'espère que Culturtruf va nous démerder ce problème.
Fred
Re: expérimentation
Bonsoir,
Voir la notion des phénomènes aux interfaces!?
JJR24
Voir la notion des phénomènes aux interfaces!?
JJR24
Re: expérimentation
bonjour
merci pour vos efforts de comprehension.
pas facile a comprendre en effet.
la porosité semble importante dans ces données , la vapeur d eau sous terre ;
je vais essayer de l ameliorer avec mon nouvel outil.
mais force de constater que je n ai pas la meilleure parcelle pour produire de la truffe.
a tous les efforts et travaux que j ai fourni, j aimerais savoir dans une bonne parcelle si ca aurait marché ????
pour l instant, je maintiens de retarder mon projet de nouvelle parcelle, j attends de voir si j ai une amelioration.
trufou
merci pour vos efforts de comprehension.
pas facile a comprendre en effet.
la porosité semble importante dans ces données , la vapeur d eau sous terre ;
je vais essayer de l ameliorer avec mon nouvel outil.
mais force de constater que je n ai pas la meilleure parcelle pour produire de la truffe.
a tous les efforts et travaux que j ai fourni, j aimerais savoir dans une bonne parcelle si ca aurait marché ????
pour l instant, je maintiens de retarder mon projet de nouvelle parcelle, j attends de voir si j ai une amelioration.
trufou
Re: expérimentation
Les brésilien ne parlent pas dans leurs études de la porosité mais c'est lié car ils étudient la LLWR en fonction de la densité apparente du sol.
En gros, en sol forestier, ni la dureté du sol, ni le manque d'oxygène ne vient entamer l'intervalle entre la capacité au champ et le point de fleurissement.
Par contre, en culture, à chaque fois c'est limitant. Que ça soit en prairie, en travail du sol ou en agriculture de conservation, ça réduit l'intervalle.
C'est pourquoi une approche classique avec les sondes et deux limites de pF est notablement insuffisante pour tous les sols.
Je mets les courbes dans le post sur l'oxygène car on est dans celui des pièges.
Fred
En gros, en sol forestier, ni la dureté du sol, ni le manque d'oxygène ne vient entamer l'intervalle entre la capacité au champ et le point de fleurissement.
Par contre, en culture, à chaque fois c'est limitant. Que ça soit en prairie, en travail du sol ou en agriculture de conservation, ça réduit l'intervalle.
C'est pourquoi une approche classique avec les sondes et deux limites de pF est notablement insuffisante pour tous les sols.
Je mets les courbes dans le post sur l'oxygène car on est dans celui des pièges.
Fred
Re: expérimentation
bien, merci fred, je vais regarder .
mais ca devient compliqué , peut etre même hors competences !
trufou
mais ca devient compliqué , peut etre même hors competences !
trufou
Re: expérimentation
Très intéressant,
Comparatif entre les truffes de pièges et les truffes plein sol:
https://micofora.com/efecto-de-los-pozo ... y1EHqBnshg
Comparatif entre les truffes de pièges et les truffes plein sol:
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Re: expérimentation
Bonjour,
Merci pour le lien; intéressant, mais il manque le plus important: la qualité de l’arôme, ce qui est annoncé comme devant faire l'objet d'une étude à venir.
Michel.
PS: pour résumer, pour ceux qui comprennent l'espagnol encore moins que moi:
Truffes de pièges plus précoces, plus profondes, plus rondes, moins attaquées par les liodes.
Maturité identique.....quand il y a une seule truffe dans le piège.
Efficacité des pièges variables selon les types de sol, plus efficaces dans les sols plus sableux.
Merci pour le lien; intéressant, mais il manque le plus important: la qualité de l’arôme, ce qui est annoncé comme devant faire l'objet d'une étude à venir.
Michel.
PS: pour résumer, pour ceux qui comprennent l'espagnol encore moins que moi:
Truffes de pièges plus précoces, plus profondes, plus rondes, moins attaquées par les liodes.
Maturité identique.....quand il y a une seule truffe dans le piège.
Efficacité des pièges variables selon les types de sol, plus efficaces dans les sols plus sableux.
Re: expérimentation
Oui, on a la réponse à notre questionnement sur la maturité des truffes de piège. Elles sont moins mûres que les truffes de sol car elles sortent majoritairement en tout début de saison (pic fin novembre / début décembre).
C'était un secret de polichinelle mais je voulais que ça soit papi lulu qui nous le dise.
Après, c'est tout bénef pour les producteurs qui en font comme les espagnols car ça leur permet de fournir des truffes pour les fêtes de Noël. En plus comme tu le dis, elles sont plus profondes, donc mieux protégées et plus rondes.
Mûres ou pas mûres, c'est là qu'elles sont les plus chères.
Fred
C'était un secret de polichinelle mais je voulais que ça soit papi lulu qui nous le dise.
Après, c'est tout bénef pour les producteurs qui en font comme les espagnols car ça leur permet de fournir des truffes pour les fêtes de Noël. En plus comme tu le dis, elles sont plus profondes, donc mieux protégées et plus rondes.
Mûres ou pas mûres, c'est là qu'elles sont les plus chères.
Fred
Re: expérimentation
Bonsoir,
D'après la traduction automatique, moins de maturité au début de cavage, par rapport aux truffes de sol; plus rondes et moins attaquées par les liodès;
Si je comprends, le manque de parfum, qui n'est pas développé, ne semble pas une priorité!
JJR24
D'après la traduction automatique, moins de maturité au début de cavage, par rapport aux truffes de sol; plus rondes et moins attaquées par les liodès;
Si je comprends, le manque de parfum, qui n'est pas développé, ne semble pas une priorité!
JJR24
Re: expérimentation
Moitié tourbe perlite et vermiculite
Et l'autre moitié a l'efiiperl pur
20g de truffe par arbres
Fait a la tarière diamètre 100
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
Félix
Re: expérimentation
Les 3/4 de mes pièges ont été rouverts dans la nuit par un animal à quatre pattes. J'ai vu quelques crottes de la taille de celles d'un chat sur le bord du trou. Mon chat qui cave pour manger la truffe, mais il enterre ses déjections. Le blaireau pose les siennes au fond du trou. J'ai utilisé de la truffe séchée, peu odorante. Je pense à une fouine ou martre, avez-vous des idées ?
Dans la vie tout n'est qu'une histoire de dosage , encore faut-il avoir le courage d'oser doser !
Re: expérimentation
Martres et fouines font des crottes plus fines que celles des chats.
Fred
Fred
Re: expérimentation
J'aurais dit un blaireau
Peut être qu'il a senti le miel ou le sucre ?
C'est vrai qu'il fait ses besoins dans un trou
Ou peut être un renard
Peut être qu'il a senti le miel ou le sucre ?
C'est vrai qu'il fait ses besoins dans un trou
Ou peut être un renard
Félix