chez moi aussi c'est très superficiel ( 40 cm de terre et en dessous le dur
Houlà, c'est très profond chez toi. Chez nous, lorsque tu fais le trou, si tu peux mettre ton plant droit dedans, tu as planté au bon endroit. Mais je suis d'accord avec toi sur le fait que s'occuper de ses arbres ne peut pas nuire.
Bref, il faut tout essayer. J'ai planté une toute petite surface à coté de ma maison l'an dernier et je vais la mener en intensif comme tu le préconises avec arrosage auto, travail du sol à la main, amendement calcaire et taille des arbres. J'ai 20 arbres ça me fera un bon test, je ne me tuerai pas à la tâche et ma femme ne divorcera pas car je n'aurai pas mis trop d'arbres à coté de la maison.
Je verrai bien ce que ça va donner. Si la truffe est virulente (brulé précoce, production rapide) je généraliserai en me penchant sur des densités plus élevées.
Il lui en reste encore pas mal et si tu en veux, je pense que tu peux même te faire livrer à Chartrier, le producteur y vient faire un tour. Il faudrait que tu l'appelles.
jacques 37 a écrit :Bonjour Sergio
Il se dit souvent que le labour est l'ennemi de l'implantation de plants truffiers !!!
Je ne sais trop quoi en penser. Je pense que tout est question de l'historique de ton terrain. En fonction de ses années de cultures diverses, de prairie, de terre sauvage, je pense que les actes de préparation à la plantation doivent être différents. Je prends simplement mon exemple. Prairie naturelles en pente douce, depuis plusieurs décennies. Terrain très calcaire, présentant une présence importante de pierres calcaires souvent imposantes. Les conseils qui m'ont été donnés, grattage superficiel en évitant de défoncer la couche superficielle.
Les résultats même s'ils sont positifs seront ils dûs a cette action ? Sans doute auront ils joués un rôle, mais dans quel pourcentage ?
J'ai choisi la plantation en haie, chaque plant étant espacé d' 1,50m, chaque lignée elles mêmes espacées de 8 mètres. J'ai intégré dans une de ces 2 lignées quelques chênes kermès au milieu de chênes, verts, de chevelus, de pubescents et quelques pédonculés.
Concernant la fermeture du milieu qui est pour beaucoup de nous une préoccupation constante, plusieurs procédés existent. Pour ma part, je compte la maitriser, du moins je l'espère, par la taille type bonsaï.
Ci-joint conseils de taille de la part du producteur de plants kermès : Taille :
• Dès la 2ème année, pincer les branches latérales de l’arbre pour favoriser l’axe vertical.
• ? Quand l’arbre aura atteint la taille voulue (en fonction de votre densité de plantation), faire chaque année durant le mois de mai/juin (sur la pousse nouvelle de 5 cm, de préférence par lune descendante) une taille serrée. Cette taille permet d’éviter la fermeture du milieu, diminue la surface foliaire (masse de feuillage) de l’arbre pour réduire son besoin en eau et favorise la repousse de nouvelles racines, ces jeunes racines vont pouvoir loger des nouvelles mycorhizes. Maintenir l’arbre à une hauteur maximale d’env. 1,80 m afin de pouvoir intervenir plus facilement. (voir aussi page Actualités).
Bonne plantation et donnes nous des informations sur tes choix à venir.
bonsoir chez moi les kermes en sauvage max 60 cm, voir réponse de j gravier en plantation max 80cm hauteur
bonjour, tout le monde
merci pour toutes vos réponses mais personne ne ma dit si il avait des kermès en production et quel rendement ou moyenne d'arbres producteurs il obtenait, donc je ne sait toujours pas si je vais en planter
tu peux te renseigner a un vendeur de plants certifie ctifl . Il vends des chenes kermes mycorisés .Le site: comptoir du chene truffier. Je ne sais pas ce que ça vaut .......
Oui moi j'ai déjà acheter chez ce pépineriste t'inquiète pas ils sont très correcte, il m'ont remboursé des plants et leurs plants sont ctifl donc pas de problème et puis se sont des spécialistes !
Bonjour,
Je suis des PO et chez nous ca marche en effet, beaucoup l'utilisent pour mettre entre deux arbres vu que sa taille buisson ne contribue pas à la fermeture du milieu.
J'ai vu sortir de belles mélano sous des K myco !
Attention à la plantation si mes souvenirs sont bons il ne faut pas le butter ni l'enterrer sinon attention aux drageons qui vont étaler le plan de tous côtés (c'est le seul désavantage que je lui trouve)
Les essais réalisés dans le sud-ouest ont montrés qu'à l'instar des colurnas, la croissance rapide des chênes chevelus sous climat océanique n'était pas très adaptés à la production de T mélanosporum.
Les arbres que j'ai vus portaient malgré un sol très superficiel les traits d'une croissance rapide. Lors de notre visite sur cette truffière expérimentale, les chiens présents ont sortis sous ces arbres (et en périphérie de la frondaison) uniquement des brumales...
Bref, je pense que plus que l'essence, c'est la vitesse de croissance dans un milieu donné qui est importante.
