Conditions et suivi des naissances.
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Re: Conditions et suivi des naissances.
Fred,
si 35 à 40% c'est le taux d'humidité de l'air c'est peu...... si le sol profond est bien rechargé en eau c'est une situation qui peut durer un certain temps.
Dans cet échange gazeux depuis les profondeurs vers la surface se crée une "détente", l'eau passe progressivement de sa phase liquide à une phase gazeuze avec un taux d'humidité qui décroit au fur et à mesure que l'on se raproche de la surface du sol, du coup se crée un rafraichissement du sol (principe du réfrigérateur).
Il serait très interessant de connaitre la capacité de ce réfrigérateur de sol naturel au regard des températures extèrieures qui augmentent au fur et à mesure que s'installe l'été.... il va y avoir un moment ou il y a "bascule", le système n'est plus assez puissant pour résister à l'échauffement de la surface.... et on devrait alors observer une brusque élévation de la T° du sol....
joel
si 35 à 40% c'est le taux d'humidité de l'air c'est peu...... si le sol profond est bien rechargé en eau c'est une situation qui peut durer un certain temps.
Dans cet échange gazeux depuis les profondeurs vers la surface se crée une "détente", l'eau passe progressivement de sa phase liquide à une phase gazeuze avec un taux d'humidité qui décroit au fur et à mesure que l'on se raproche de la surface du sol, du coup se crée un rafraichissement du sol (principe du réfrigérateur).
Il serait très interessant de connaitre la capacité de ce réfrigérateur de sol naturel au regard des températures extèrieures qui augmentent au fur et à mesure que s'installe l'été.... il va y avoir un moment ou il y a "bascule", le système n'est plus assez puissant pour résister à l'échauffement de la surface.... et on devrait alors observer une brusque élévation de la T° du sol....
joel
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Re: Conditions et suivi des naissances.
Mais tout cela est sans doute influencé par la microfaune en place, c'est peut être celle-ci qui permet des conditions plus ou moins favorables 

Jacques 37
Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonjour Omisc,
il est toujours salutaire de douter et de se poser des questions.
L'arbre, oui, il a un rôle. Mais il faut le relativiser. Je ne sais pas si tu as bien lu ce qu'à dit Lubin81, mais elle émet de sérieux doute sur le rattachement des truffettes à l'arbre aux premiers stades. Si c'est le cas, l'arbre est juste le support d'un réservoir mycélien, pas grand chose de plus.
Il va être important au début de la vie de la truffière en installant un fort pool de mycélium, qui effet allee aidant va passer le seuil critique permettant le brulé et la production. Il va ensuite être important pour prendre en charge l'alimentation des truffettes et les amener au stade truffe adulte.
Mais sur le stade naissance, on n'en sait rien (pour le moment).
Oui Joël, notre sol en évaporant de l'eau va se "refroidir". L'effet seuil avec élévation brutale de la température n'est pas observée dans l'étude en question. Il faudrait que je mette la courbe de l'étude pour que tout le monde visualise. Mais c'est une courbe en cloche classique avec micro variations liées à la climatologie.
Après, si l'humidité part trop vite, on va rapidement sortir de la zone favorable. C'est sans doute une des raisons du succès du mulching sableux qui joue entre autre le rôle de surface microporeuse qui régule le flux de vapeur d'eau à travers le sol. Cet effet est visible en plein été juste en grattant le sol et en découvrant sous le paillage une humidité assez homogène et semble-t-il idéale pendant une plus longue période qu'en absence de paillage.
Après, ce phénomène devrait permettre d'élucider l'effet discontinuité (présence de la truffe pour moitié dans la sole sous la zone travaillée et pour moitié en dehors) mais j'ai beau réfléchir, je ne vois pas.
Le plus simple, serait d'équiper quelques arbres d'un capteur de CO2, d'un capteur d'humidité et d'un thermomètre. On ne mettrait pas longtemps pour conceptualiser le phénomène. Mais j'ai bien peur qu'un tel équipement coute plus qu'un flower power.
Fred
il est toujours salutaire de douter et de se poser des questions.
L'arbre, oui, il a un rôle. Mais il faut le relativiser. Je ne sais pas si tu as bien lu ce qu'à dit Lubin81, mais elle émet de sérieux doute sur le rattachement des truffettes à l'arbre aux premiers stades. Si c'est le cas, l'arbre est juste le support d'un réservoir mycélien, pas grand chose de plus.
Il va être important au début de la vie de la truffière en installant un fort pool de mycélium, qui effet allee aidant va passer le seuil critique permettant le brulé et la production. Il va ensuite être important pour prendre en charge l'alimentation des truffettes et les amener au stade truffe adulte.
Mais sur le stade naissance, on n'en sait rien (pour le moment).
Oui Joël, notre sol en évaporant de l'eau va se "refroidir". L'effet seuil avec élévation brutale de la température n'est pas observée dans l'étude en question. Il faudrait que je mette la courbe de l'étude pour que tout le monde visualise. Mais c'est une courbe en cloche classique avec micro variations liées à la climatologie.
Après, si l'humidité part trop vite, on va rapidement sortir de la zone favorable. C'est sans doute une des raisons du succès du mulching sableux qui joue entre autre le rôle de surface microporeuse qui régule le flux de vapeur d'eau à travers le sol. Cet effet est visible en plein été juste en grattant le sol et en découvrant sous le paillage une humidité assez homogène et semble-t-il idéale pendant une plus longue période qu'en absence de paillage.
Après, ce phénomène devrait permettre d'élucider l'effet discontinuité (présence de la truffe pour moitié dans la sole sous la zone travaillée et pour moitié en dehors) mais j'ai beau réfléchir, je ne vois pas.
Le plus simple, serait d'équiper quelques arbres d'un capteur de CO2, d'un capteur d'humidité et d'un thermomètre. On ne mettrait pas longtemps pour conceptualiser le phénomène. Mais j'ai bien peur qu'un tel équipement coute plus qu'un flower power.
Fred
Re: Conditions et suivi des naissances.
Osmic,
oui, il y a un moment ou la truffe est dépendante de l'arbre, mais il n'a jamais été dit qu'elle l'était du début jusqu'à la fin et pour la totalité des élément dont elle a besoin pour croître... ça laisse de la place pour toutes sortes de choses, sachant qu'elle reste avant tout la fructification du "champignon truffe".
joel
oui, il y a un moment ou la truffe est dépendante de l'arbre, mais il n'a jamais été dit qu'elle l'était du début jusqu'à la fin et pour la totalité des élément dont elle a besoin pour croître... ça laisse de la place pour toutes sortes de choses, sachant qu'elle reste avant tout la fructification du "champignon truffe".
joel
Re: Conditions et suivi des naissances.
Fred,
pour moi cette année il est clair que 80/100 des truffes se trouvaient à l'interface travaillé/pas travaillé, 1/3 dans le "dur", 2/3 dans la zone meuble, à -15/-17 cm..... au dessus dans la "semoule" s'effectuait la régulation des flux de vapeur.... c'est pour moi la première année que c'est aussi "clair", c'est certainement du à des conditions climatiques particulières.
De même celle année TOUTES les belles truffes (150/300gr) se trouvaient sous les bourelets de terre laissé par la herse rotative et environ 70/100 de la production se situait là..... une chose évidente: étant donné le relief du sol en cet endroit, la surface de contact terre/air et nettement plus importante que la surface de sol avec de plus grands échanges gazeux..... probablement une meilleure oxygénation du sol, renforcée quand il y a du vent...
joel
pour moi cette année il est clair que 80/100 des truffes se trouvaient à l'interface travaillé/pas travaillé, 1/3 dans le "dur", 2/3 dans la zone meuble, à -15/-17 cm..... au dessus dans la "semoule" s'effectuait la régulation des flux de vapeur.... c'est pour moi la première année que c'est aussi "clair", c'est certainement du à des conditions climatiques particulières.
De même celle année TOUTES les belles truffes (150/300gr) se trouvaient sous les bourelets de terre laissé par la herse rotative et environ 70/100 de la production se situait là..... une chose évidente: étant donné le relief du sol en cet endroit, la surface de contact terre/air et nettement plus importante que la surface de sol avec de plus grands échanges gazeux..... probablement une meilleure oxygénation du sol, renforcée quand il y a du vent...
joel
Tu as créé avec tes buttes une super clim pour tes truffes.
Plus sérieusement, le positionnement des truffes à l'interface peut être lié à plein de choses différentes dont le fait que cette terre plus tassée peut effectivement être le lieu privilégié de l'évaporation et donc bénéficier d'une température plus fraiche.
Pour ta butte, pareil, ça peut-être lié à de nombreux facteurs. Cette zone est-elle par exemple travaillée deux fois, une seule fois ou pas du tout car les dents n'y passent pas?
Après, comme le suggérait déjà Jérôme depuis longtemps, il semble que les naissances et le nombre de truffettes formées ne soit pas le facteur limitant. Il semble qu'il en nait des dizaines, des centaines, des milliers, voire des dizaines de milliers sous un arbre. Quels sont les phénomènes qui font qu'il en arrive 2, 5 ou 30 à maturité. C'est ça qui va faire la différence entre une production médiocre et une production exceptionnelle.
Fred
Plus sérieusement, le positionnement des truffes à l'interface peut être lié à plein de choses différentes dont le fait que cette terre plus tassée peut effectivement être le lieu privilégié de l'évaporation et donc bénéficier d'une température plus fraiche.
Pour ta butte, pareil, ça peut-être lié à de nombreux facteurs. Cette zone est-elle par exemple travaillée deux fois, une seule fois ou pas du tout car les dents n'y passent pas?
Après, comme le suggérait déjà Jérôme depuis longtemps, il semble que les naissances et le nombre de truffettes formées ne soit pas le facteur limitant. Il semble qu'il en nait des dizaines, des centaines, des milliers, voire des dizaines de milliers sous un arbre. Quels sont les phénomènes qui font qu'il en arrive 2, 5 ou 30 à maturité. C'est ça qui va faire la différence entre une production médiocre et une production exceptionnelle.
Fred
Re: Conditions et suivi des naissances.
Voici les courbes de l'étude. Les triangles, c'est lorsqu'ils prélèvent du sol pour détecter des truffettes par tamisage humide.
Et les soleils, c'est lorsqu'ils détectent les truffes avec le radar.
Fred
Et les soleils, c'est lorsqu'ils détectent les truffes avec le radar.
Fred
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonjour,
Joêl: j'ai pu constaté la même chose avec les petits tas laissés par la herse alternative;
Beaucoup d'aération et de nourriture/réserve eau sur la partie "dure";
Spécifique à cette année?
Bonnes truffes.JJR24
Joêl: j'ai pu constaté la même chose avec les petits tas laissés par la herse alternative;
Beaucoup d'aération et de nourriture/réserve eau sur la partie "dure";
Spécifique à cette année?
Bonnes truffes.JJR24
Re: Conditions et suivi des naissances.
Merci beaucoup Fred et Joel pour vos éclaircissements, j'avais peur d'être hors sujet dans mon raisonnement.
A+
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Dom
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Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonsoir Fredmelano a écrit : Oui Joël, notre sol en évaporant de l'eau va se "refroidir". L'effet seuil avec élévation brutale de la température n'est pas observée dans l'étude en question. Il faudrait que je mette la courbe de l'étude pour que tout le monde visualise. Mais c'est une courbe en cloche classique avec micro variations liées à la climatologie.
Après, si l'humidité part trop vite, on va rapidement sortir de la zone favorable. C'est sans doute une des raisons du succès du mulching sableux qui joue entre autre le rôle de surface microporeuse qui régule le flux de vapeur d'eau à travers le sol. Cet effet est visible en plein été juste en grattant le sol et en découvrant sous le paillage une humidité assez homogène et semble-t-il idéale pendant une plus longue période qu'en absence de paillage.
Après, ce phénomène devrait permettre d'élucider l'effet discontinuité (présence de la truffe pour moitié dans la sole sous la zone travaillée et pour moitié en dehors) mais j'ai beau réfléchir, je ne vois pas.
Le plus simple, serait d'équiper quelques arbres d'un capteur de CO2, d'un capteur d'humidité et d'un thermomètre. On ne mettrait pas longtemps pour conceptualiser le phénomène. Mais j'ai bien peur qu'un tel équipement coute plus qu'un flower power.
Fred
tes propos viennent rejoindre l'idée que j'ai depuis quelques temps,
a savoir que si le sol est drainant il semble agir comme des anneaux dans une colonne a distiller,
on peut imaginer que les échanges thermiques sont augmentés et que donc tant qu'il y aura de l'humidité dans ce sol, la tempêrature sera ou restera correcte pour nos truffes grâce à l'évaporation.
Si on arrive à voir ce changement par l'élévation de la tempêrature dans le sol ou par le taux d'humidité, on peut intervenir à temps avec l'irrigation pour les plantations qui sont équipées.
Restera a quantifier la quantité d'eau a remettre dans le sol ?
sincères salutations
Re: Conditions et suivi des naissances.
Lubin, pour toi, le T et H ce sont bien des conditions nécessaires en plus du facteur brulé ? ou bien tu penses que même hors du brulé une spore peut germer avec juste T et H correcte ?lubin 81 a écrit :Bonjour,
Je pense que tout se joue avec ça T et H
Dom
Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonsoir,
Oui,n'oubliez pas que les spores peuvent germer hors sol,et sans système racinaire.Ne vous est-il jamais arriver de trouver des mélanos dans de l'herbe dense et haute?
La recherche ne sait pas encore faire germer les spores.Il y a des questions qui ne devraient pas échapper aux spécialistes de la truffe et qui interpellent vraiment,même moi qui ne suis pas une scientifique loin de là,mais il y a des réflexions que je ne peux m’empêcher de me faire, qui découlent de source et qui m’emmènent à ces résultats.
Le brulé reste une énigme! qui le fait???Le mycélium des mycorhizes qui colonise OU le mycélium de la GERMINATION des spores??? On sait que les truffettes naissent début Mai, le mycélium des spores a-t-il une croissance rapide ?on sait que les truffettes naissent après le brulé donc après la germination
Mais on ne sait toujours pas à quel moment germent les spores ,février,mars,avril,.....dans le sol,on sait que les mycorhizes c'est du bouturage(contact)qu'un bout de mycélium peut se régénérer et en faire d'autre(boite de pétri) alors la logique voudrait qu'une fois l'arbre mycorhizé,il soit inutile de ramener des spores,mais alors pourquoi si l'on met une concentration importante de spores(piège)il y a des truffes???
Lubin
Oui,n'oubliez pas que les spores peuvent germer hors sol,et sans système racinaire.Ne vous est-il jamais arriver de trouver des mélanos dans de l'herbe dense et haute?
La recherche ne sait pas encore faire germer les spores.Il y a des questions qui ne devraient pas échapper aux spécialistes de la truffe et qui interpellent vraiment,même moi qui ne suis pas une scientifique loin de là,mais il y a des réflexions que je ne peux m’empêcher de me faire, qui découlent de source et qui m’emmènent à ces résultats.
Le brulé reste une énigme! qui le fait???Le mycélium des mycorhizes qui colonise OU le mycélium de la GERMINATION des spores??? On sait que les truffettes naissent début Mai, le mycélium des spores a-t-il une croissance rapide ?on sait que les truffettes naissent après le brulé donc après la germination
Mais on ne sait toujours pas à quel moment germent les spores ,février,mars,avril,.....dans le sol,on sait que les mycorhizes c'est du bouturage(contact)qu'un bout de mycélium peut se régénérer et en faire d'autre(boite de pétri) alors la logique voudrait qu'une fois l'arbre mycorhizé,il soit inutile de ramener des spores,mais alors pourquoi si l'on met une concentration importante de spores(piège)il y a des truffes???
Lubin
Re: Conditions et suivi des naissances.
Lubin, à priori d'après les scientifiques la reproduction de la truffe est sexuée, il faudrait un mycelium + et un mycélium - pour faire une truffette, d'où l'idée que le même champignon qui se développe par bouturage n'est pas suffisant...
Pour moi l'idée que la truffe se reproduit avec les spores n'est pas nouvelles, dans mon coin, je connais quelqu'un qui est passionné de cavage en naturel, son père avant lui a fait ça toute sa vie, il dit souvent, celui là (en parlant d'un brulé) je vais le sécher (c'est quand il est en bise-bise avec un confrère) car il dit que si il enlève toute les truffes sur un brulé sans en laisser une plusieurs années de suite, l'arbre ne produira plus... il dit qu'il faut laisser les dernières truffes pour la reproduction...
Mais lui bien sûr il n'a pas de microscope... et il ne parle pas de spores... mais perso je crois ce qu'il dit bien autant que ce que disent les scientifiques, lui il est sur le terrain tout l'hiver !
Pour moi l'idée que la truffe se reproduit avec les spores n'est pas nouvelles, dans mon coin, je connais quelqu'un qui est passionné de cavage en naturel, son père avant lui a fait ça toute sa vie, il dit souvent, celui là (en parlant d'un brulé) je vais le sécher (c'est quand il est en bise-bise avec un confrère) car il dit que si il enlève toute les truffes sur un brulé sans en laisser une plusieurs années de suite, l'arbre ne produira plus... il dit qu'il faut laisser les dernières truffes pour la reproduction...
Mais lui bien sûr il n'a pas de microscope... et il ne parle pas de spores... mais perso je crois ce qu'il dit bien autant que ce que disent les scientifiques, lui il est sur le terrain tout l'hiver !
Dom
Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonjour,
Mais je suis aussi comme Jean-Luc, "je me trompe plus souvent qu'à mon tour"
http://www.truffefrance.com/Files/23145 ... a_2012.pdf
Lubin, ce point me chagrine, dans le doc dessous page 6, alcina propose des analyses de terre sur des terrains agricoles ou boisés pour tester la présence de spores mélano, cela veut bien dire que les spores sont là depuis très longtemps ? Et si ils germaient aussi facilement que sur le brulé, ils auraient déjà tous germé et il n'y en aurait plus depuis longtemps ? D'où mon idée qu'il y a un "truc" sur le brulé qui se passe et qui fait germer les spores.... quoi, j'en sais rien !lubin 81 a écrit : Oui,n'oubliez pas que les spores peuvent germer hors sol,et sans système racinaire.Ne vous est-il jamais arriver de trouver des mélanos dans de l'herbe dense et haute?
Mais je suis aussi comme Jean-Luc, "je me trompe plus souvent qu'à mon tour"

http://www.truffefrance.com/Files/23145 ... a_2012.pdf
Dom
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Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonjour,
A propos de ce test, j'ai l'intention de le faire réaliser chez moi.
Selon le résultat, il peut y avoir une conduite différente à tenir; si l'analyse ne montre pas la présence de spore, l'apport est je pense indispensable.
Reste encore à avoir des données de référence, j'espère qu'Alcina en a, et est capable de fournir un résultat commenté.
Michel
A propos de ce test, j'ai l'intention de le faire réaliser chez moi.
Selon le résultat, il peut y avoir une conduite différente à tenir; si l'analyse ne montre pas la présence de spore, l'apport est je pense indispensable.
Reste encore à avoir des données de référence, j'espère qu'Alcina en a, et est capable de fournir un résultat commenté.
Michel