De la qualité de l'apport sporal ....
Modérateurs : jacques 37, galistruffe, phil, uncinat55
Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Non pour moi mais c'est prévu, je vous donnerai le résultat.
Bonne soirée
Joseph
Bonne soirée
Joseph
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martindugard
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Re: De la qualité de l'apport sporal ....
effectivement, chez Robin, le mixage des truffes destinées à mycorhizer se fait dans l'eau ...
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truffadoux
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Re: De la qualité de l'apport sporal ....
casser les asques pour libérer les spores c est plutôt logique mais avec un peu de recul je constate que vouloir seulement 80 pour cent de spores libérer est plutôt utopique .
le restant qui ne sera pas libérer de suite ,se libéra avec le temps .
vouloir aller trop loin , c est prendre le risque d endommager des spores qui peuvent avoir leur utilités dans le temps .
pour conclure déjà pour moi même je me suis fixer une limite pour garder le bon compromis ...
en tous cas félicitations a tous pour vos essais!
fabrice
le restant qui ne sera pas libérer de suite ,se libéra avec le temps .
vouloir aller trop loin , c est prendre le risque d endommager des spores qui peuvent avoir leur utilités dans le temps .
pour conclure déjà pour moi même je me suis fixer une limite pour garder le bon compromis ...
en tous cas félicitations a tous pour vos essais!
fabrice
Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Nouveau venu je viens de lire (mauvais temps le permet) plus de 400 messages sur le sujet. J'avais un avis et fais qques expérience, j'ai beaucoup appri. Merci à tous.
Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Bonjour trutrue,
hé oui, comme ça fait quelques années qu'on échange, bonjour la lecture pour celui qui débarque maintenant !!! ceci dit nous avons tous "évolué", moi le premier.... donc ce qui a été dit il y a longtemps n'est pas forcement à retenir, si ce n'est qu'en tant que témoignage d'une histoire qui se construit petit à petit.....il faut trier....
Voilà, moi aussi j'ai tenté beaucoup de choses mais aujourd'hui quand je fais un apport le temps est mon allié..... dès la plantation et d'années en années, de la truffe broyée dans l'eau très finement, de la truffe congelée, de la truffe pourrie, de la truffe séchée ou compostée, au microscope on peut observer des spores libres et des asques intactes.... on ne sait pas ce qui est le plus efficace, alors ???
Tout ce que je sais c'est que cette année une fois de plus une jeune truffière est entrée en pleine production à l'âge de 9 ans, "nouvelle conduite" mais avec un rattrapage des antécédents culturaux à 5 ans, apport de truffe/taille des arbres, des racines/travail du sol, malheureusement 90% de la récolte a été détruite par les intempéries de l'automne, mais c'est une autre histoire.(précision, pleine production c'est 40/60 Kg/hectare)
Cependant j'avais gardé quelques rangées "témoin", taille/travail du sol identique, mais pas d'apport de truffe et pas de cernage des racines (à la sous-soleuse)...... résultat: 3 arbres producteurs sur 80 !!!!
C'est un "tout" qui fonctionne, lié à une démarche "logique"...... on ne peut isoler un seul parametre....
Joel
hé oui, comme ça fait quelques années qu'on échange, bonjour la lecture pour celui qui débarque maintenant !!! ceci dit nous avons tous "évolué", moi le premier.... donc ce qui a été dit il y a longtemps n'est pas forcement à retenir, si ce n'est qu'en tant que témoignage d'une histoire qui se construit petit à petit.....il faut trier....
Voilà, moi aussi j'ai tenté beaucoup de choses mais aujourd'hui quand je fais un apport le temps est mon allié..... dès la plantation et d'années en années, de la truffe broyée dans l'eau très finement, de la truffe congelée, de la truffe pourrie, de la truffe séchée ou compostée, au microscope on peut observer des spores libres et des asques intactes.... on ne sait pas ce qui est le plus efficace, alors ???
Tout ce que je sais c'est que cette année une fois de plus une jeune truffière est entrée en pleine production à l'âge de 9 ans, "nouvelle conduite" mais avec un rattrapage des antécédents culturaux à 5 ans, apport de truffe/taille des arbres, des racines/travail du sol, malheureusement 90% de la récolte a été détruite par les intempéries de l'automne, mais c'est une autre histoire.(précision, pleine production c'est 40/60 Kg/hectare)
Cependant j'avais gardé quelques rangées "témoin", taille/travail du sol identique, mais pas d'apport de truffe et pas de cernage des racines (à la sous-soleuse)...... résultat: 3 arbres producteurs sur 80 !!!!
C'est un "tout" qui fonctionne, lié à une démarche "logique"...... on ne peut isoler un seul parametre....
Joel
- jeanmidu24
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Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Bonjour Joël, habituellement tu passes la sous-soleuse entre les rangs? tous les ans?J Gravier a écrit : pas de cernage des racines (à la sous-soleuse)...... résultat: 3 arbres producteurs sur 80 !!!!
Joel
Jeanmi,
Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Bonjour Joël
Très bien; mais comme tu le disais voilà quelques temps et je pense que cela n'a pas changé ce que tu fais chez toi ne donnera peut-être pas la même chose à l'identique ailleurs, c'est à chacun de faire des essais mais comme il y a de nombreux paramètres qui rentrent en compte on ne peut pas faire des déductions sur une seule année.
JP 37
Très bien; mais comme tu le disais voilà quelques temps et je pense que cela n'a pas changé ce que tu fais chez toi ne donnera peut-être pas la même chose à l'identique ailleurs, c'est à chacun de faire des essais mais comme il y a de nombreux paramètres qui rentrent en compte on ne peut pas faire des déductions sur une seule année.
JP 37
Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Jeanmi, la sous-soleuse c'est la séance de "rattrapage" pour une truffière qui n'a pas été gérée correctement au départ et sur laquelle il est encore possible de tenter quelque chose.... et ce n'est pas non plus une pratique annuelle....
J-P37, oui tu as raison, ce n'est pas à faite partout et de toutes façon mieux vaut faire les "bonnes" choses dès la plantation.
Cependant c'est quelque chose que j'ai tenté de nombreuses fois avec différents types de sol et j'ai eu 100/100 de réussite chez moi comme chez d'autres producteurs, l'idéal ce sont des arbres qui ont moins de 12 ans, et s'ils ont entre 3 et 5 ans on peut même les ramener progressivement à l'équivalent d'une truffière de type "intégrée"..... par contre il y a des conditions de milieu favorables à respecter, sol a réelle valeur agronomique, chaleur du sud-est, basse altitude (50/300m), irrigation.....
Je ne suis pas capable de dire quel est paramètre le plus important, mais il faut à la fois: couper la tête des arbres et ensuite les rendre plus "compacts" par des tailles successives, travailler le sol dans la future zone de production, cerner les racines juste à l'extérieur des brulés, apporter de la truffe.... et bien sur irriguer correctement.....
Joel
J-P37, oui tu as raison, ce n'est pas à faite partout et de toutes façon mieux vaut faire les "bonnes" choses dès la plantation.
Cependant c'est quelque chose que j'ai tenté de nombreuses fois avec différents types de sol et j'ai eu 100/100 de réussite chez moi comme chez d'autres producteurs, l'idéal ce sont des arbres qui ont moins de 12 ans, et s'ils ont entre 3 et 5 ans on peut même les ramener progressivement à l'équivalent d'une truffière de type "intégrée"..... par contre il y a des conditions de milieu favorables à respecter, sol a réelle valeur agronomique, chaleur du sud-est, basse altitude (50/300m), irrigation.....
Je ne suis pas capable de dire quel est paramètre le plus important, mais il faut à la fois: couper la tête des arbres et ensuite les rendre plus "compacts" par des tailles successives, travailler le sol dans la future zone de production, cerner les racines juste à l'extérieur des brulés, apporter de la truffe.... et bien sur irriguer correctement.....
Joel
Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Merçi Joël pour ces précisions. Même si on ne les met pas en pratique on sait au moins que cela existe. Je me reconnais tout à fait dans ton dernier paragraphe hormis le cernage des racines. Je n'ai jamais osé le faire ne maîtrisant pas du tout cette opération mais j'avais l'intention de le tenter au printemps sur quelques chênes qui n'ont pas encore donné et qui auront dix ans en fin d'année et qui depuis trois ans ont des apports de truffes broyées.
JP 37
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Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Question de Petit Scarabée : Vous pouvez définir rapidement le "cernage" en question ??
Merci
Olive
Merci
Olive
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https://www.facebook.com/JDTrufficulteur/
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truffadoux
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Re: De la qualité de l'apport sporal ....
je me demande si c est pas la machine avec les disques en acier comme dans la vidéo du domaine des cordis ...
fabrice
fabrice
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bion
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Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Bonsoir,
Les disques doivent être trop superficiels, Joël parle de sous-soleuse:
Les disques doivent être trop superficiels, Joël parle de sous-soleuse:
Attention, il dit aussi que ce n'est pas un travail annuel, mais une façon de "rattraper" des arbres qui n'ont pas été conduits correctement depuis le début:J Gravier a écrit : pas de cernage des racines (à la sous-soleuse)...
Michel.J Gravier a écrit :Jeanmi, la sous-soleuse c'est la séance de "rattrapage" pour une truffière qui n'a pas été gérée correctement au départ et sur laquelle il est encore possible de tenter quelque chose.... et ce n'est pas non plus une pratique annuelle....
Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Bonjour à tous,
Fabrice, observe un plant en godet, il n'a pas la même architecture racinaire qu'un gland qui a poussé en terre..... pourquoi ? et en quoi cela est il intéressant ?..... et si ça ne l'était pas pourquoi agri et rob auraient déposé un brevet pour leurs godets ?
Quand le pivot arrive au fond du pot il se nécrose au contact de l'air, l'arbre dans un "réflexe de survie" va essayer de trouver une parade et "lance" des pivots secondaires à partir (ou très proches) du collet, il réitère des racines à partir de sa base, c'est quelque chose qui existe dans la nature mais qui ne se produit qu'au bout de nombreuses années, lorsque l'arbre atteint sa maturité......
On a donc beaucoup plus de racines qui partent du pivot et qui a leur tour vont se nécroser au contact de l'air au fond du godet..... la suite est facile à comprendre, beaucoup de renouvellement racinaire dans un volume réduit, le tout en contact avec un champignon qui trouve le "gite et le couvert" sans trop faire d'efforts.
Le problème lorsqu'on met ce type de plant en terre c'est que la nature reprend ses droits..... comme de toutes façons l'arbre est "programmé" pour faire pivot et traçantes il abandonne une bonne partie du racinaire fin du godet (porteur du champignon), pour se consacrer à sa tache "normale".... et tant qu'il ne se sera pas ancré profondément dans le sol on reste "bloqué" à ce stade d'évolution.....
Alors il y a un soucis.... la myco peut persister un an ou deux sur les "vieilles racines", mais après ? que se passe t il si l'arbre ne renouvelle pas ses racines fines assez vite ? .... la réponse est simple, là ou il y avait très certainement 80% d'arbres bien mycos au départ, il n'en reste plus que 10 à 20 % qui produisent des truffes au bout de 15 ans..... quand il en reste !!
Pratiquer un "cernage des racines" sur un arbre qui a déjà 5 ou 10 ans, c'est couper profondément dans le sens du rang toutes les racines traçantes en dehors de la zone définie comme future productrice.... et pourquoi pas au "carré" si la plantation permet le passage d'un tracteur dans tous les sens.
Cependant attention !!!! c'est quand même "méchant" comme intervention ! il faut faire ça en plein repos hivernal et y associer une première taille des arbres, celle qui consiste à leur "couper la tête", à la tronçonneuse, certains seront réduits de plus de 2m ..... une irrigation fin mars peut être la bienvenue....
Bien sur l'arbre va reconstituer ses trançantes, les grosses racines coupées vont se diviser, mais pour un temps il n'a d'autres choix que de faire avec le racinaire restant, il va réitérer un certain nombre de racines un peu partout, à l'image de ce qu'il se passe dans un godet anti-chignon.
L'erreur est de ne pas tout faire la même année, un arbre sévèrement tailler va repartir à toute berzingue s'il a conservé un racinaire intact et très peu le renouveler, un arbre non taillé auquel on a coupé ses racines risque de végéter définitivement.....
C'est une chose que je ne fais normalement qu'une seule fois, sauf si les arbres ont déjà 10/14 ans et que pour leur donner une architecture "compacte" un minimum de 3/4 ans et une dizaine de tailles sont nécessaire, dans ce cas le passage de sous-soleuse peut être annuel mais en s'éloignant progressivement du tronc.
Voilà, je me suis déjà exprimé sur ce sujet, mais là c'est peut être un peu plus clair.....
Joel
Fabrice, observe un plant en godet, il n'a pas la même architecture racinaire qu'un gland qui a poussé en terre..... pourquoi ? et en quoi cela est il intéressant ?..... et si ça ne l'était pas pourquoi agri et rob auraient déposé un brevet pour leurs godets ?
Quand le pivot arrive au fond du pot il se nécrose au contact de l'air, l'arbre dans un "réflexe de survie" va essayer de trouver une parade et "lance" des pivots secondaires à partir (ou très proches) du collet, il réitère des racines à partir de sa base, c'est quelque chose qui existe dans la nature mais qui ne se produit qu'au bout de nombreuses années, lorsque l'arbre atteint sa maturité......
On a donc beaucoup plus de racines qui partent du pivot et qui a leur tour vont se nécroser au contact de l'air au fond du godet..... la suite est facile à comprendre, beaucoup de renouvellement racinaire dans un volume réduit, le tout en contact avec un champignon qui trouve le "gite et le couvert" sans trop faire d'efforts.
Le problème lorsqu'on met ce type de plant en terre c'est que la nature reprend ses droits..... comme de toutes façons l'arbre est "programmé" pour faire pivot et traçantes il abandonne une bonne partie du racinaire fin du godet (porteur du champignon), pour se consacrer à sa tache "normale".... et tant qu'il ne se sera pas ancré profondément dans le sol on reste "bloqué" à ce stade d'évolution.....
Alors il y a un soucis.... la myco peut persister un an ou deux sur les "vieilles racines", mais après ? que se passe t il si l'arbre ne renouvelle pas ses racines fines assez vite ? .... la réponse est simple, là ou il y avait très certainement 80% d'arbres bien mycos au départ, il n'en reste plus que 10 à 20 % qui produisent des truffes au bout de 15 ans..... quand il en reste !!
Pratiquer un "cernage des racines" sur un arbre qui a déjà 5 ou 10 ans, c'est couper profondément dans le sens du rang toutes les racines traçantes en dehors de la zone définie comme future productrice.... et pourquoi pas au "carré" si la plantation permet le passage d'un tracteur dans tous les sens.
Cependant attention !!!! c'est quand même "méchant" comme intervention ! il faut faire ça en plein repos hivernal et y associer une première taille des arbres, celle qui consiste à leur "couper la tête", à la tronçonneuse, certains seront réduits de plus de 2m ..... une irrigation fin mars peut être la bienvenue....
Bien sur l'arbre va reconstituer ses trançantes, les grosses racines coupées vont se diviser, mais pour un temps il n'a d'autres choix que de faire avec le racinaire restant, il va réitérer un certain nombre de racines un peu partout, à l'image de ce qu'il se passe dans un godet anti-chignon.
L'erreur est de ne pas tout faire la même année, un arbre sévèrement tailler va repartir à toute berzingue s'il a conservé un racinaire intact et très peu le renouveler, un arbre non taillé auquel on a coupé ses racines risque de végéter définitivement.....
C'est une chose que je ne fais normalement qu'une seule fois, sauf si les arbres ont déjà 10/14 ans et que pour leur donner une architecture "compacte" un minimum de 3/4 ans et une dizaine de tailles sont nécessaire, dans ce cas le passage de sous-soleuse peut être annuel mais en s'éloignant progressivement du tronc.
Voilà, je me suis déjà exprimé sur ce sujet, mais là c'est peut être un peu plus clair.....
Joel
Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Je reste convaincu que la mycorhize initiale ne sert pas à grand chose (voire à rien) car de toute facon elle disparait assez vite (dans l'année) après plantation. Je sais que je vous ai déjà saoulé sur un autre fil avec cela
mais pour moi le "plant myco" a été une fumisterie marketing.
-> il faut se focaliser d'abord sur le racinaire du plant initial et ses premiers développements
-> et que celui ci se fasse dans un environnement où le mycelium est abondant : la terre du godet en contient mais par suffisamment surtout si l'environnement n'est pas favorable => travail du sol et apports (sujet du fil) sporal ET gleba sont des compléments indispensables.
Seb
-> il faut se focaliser d'abord sur le racinaire du plant initial et ses premiers développements
-> et que celui ci se fasse dans un environnement où le mycelium est abondant : la terre du godet en contient mais par suffisamment surtout si l'environnement n'est pas favorable => travail du sol et apports (sujet du fil) sporal ET gleba sont des compléments indispensables.
Seb
contrairement au doute, seule la certitude rend fou
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truffadoux
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Re: De la qualité de l'apport sporal ....
Oui tuber 01 j ai compris que le plant sans apport de truffe et soins culturaux ne sert a vraiment a pas grand chose.
C est pour ca que cet annee je vais essayer des plants maison et travailler sur le racinaire avec apport de truffe l histoire d avoir une nouvelle approche .
Fabrice
C est pour ca que cet annee je vais essayer des plants maison et travailler sur le racinaire avec apport de truffe l histoire d avoir une nouvelle approche .
Fabrice