j aimerais que lubin nous confirme avoir vu des spores passés au sechage et qui ont ensuite germé.
au passage, lubin pourrait aussi nous confirmer la même chose avec des spores congelé, voire decongelé/ recongelé ,decongelé/ recongelé ..... lubin
trufou
Bernard il se pourrait (vu sur un autre fil) que la myco vienne du développement végétatif de la gleba et pas de la germination d'un spore (en tous cas moins probable).
Faire sécher les truffes : tout dépend pour quoi faire !!
Seb
contrairement au doute, seule la certitude rend fou
peut etre bien,
si j ai bien compris, le gleba permet d obtenir le mycelium tout ou partie.
a mon avis qui n engage que moi, le sechage detruit le gléba qui ne donne rien.
le sechage permettrait alors qu un apport de spores a priviligier sur de beaux brulés.
qu en pensez vous ?
trufou
bonjour truffalou
l interet est photographié page precedente par lubin,dans le cas de sechage du broyat l asque c est cassé .
les spores sont ainsi libres .
trufou
que ce soit surgelé ou séché la gleba garde ces qualités .lubin a dit que le séchage était primordial pour liberer les spores , mais bon moi j ai pas le droit de vous dire pourquoi .
la gléba se reproduit végétativement donc pour la myco c est le plus simple car elle est tres réactive .des que les conditions de température et humidité lui convienne , le micelium peu ce dévellopé .
mince plus de temps ; a plus , jerome
trufou a écrit :bonjour
fred, une legere odeur doit flotter chez toi si tu le fait dans la maison !!!
lilic, merci, il aura fallu 5 ans pour que l info traversse la frontiere !
c est surtout qu on a une preuve photo maintenant .
trufou
desolé trufou j'en avais parler au resto lors de notre periple dans le sud
eric
Bonjour,
Et juste une dernière question avant de clôturer le sujet:
- Comment réincorporer la poudre de spores séchés ?
Telle quelle ?
Ré hydraté ?
Mélangée à de la vermiculite ?
autre ?
galistruffe a écrit :lubin a dit que le séchage était primordial pour liberer les spores ,
C'est pour cela que des alternances de périodes sèches et humides semblent favorables aux fructifications. Pour moi qui ai opté pour des truffes fraîches j'ai choisi d'ensemencer en bordure de la zone travaillée, zones qui seront touchées par la sécheresse avant que le racinaire s'y installe. Ainsi lorsque les racines pénètreront la zone "contaminée" les spores auront été soumises naturellement à des alterances de sec et humide.
En truffière en production ça laisse aussi entrevoir qu'il faut être vigilant sur la façon de pratiquer l'irigation tant en terme de quantité que d'homogénéité. Maintenir l'intégralité d'un brûlé à un taux d'humidité à priori "convenable" pourrait en fait s'avérer contre-productif ...
Houra26 a écrit :Bonjour,
Et juste une dernière question avant de clôturer le sujet:
- Comment réincorporer la poudre de spores séchés ?
Telle quelle ?
Ré hydraté ?
Mélangée à de la vermiculite ?
autre ?
- Et à quel moment ?
au travail du printemps ?
Houra
Perso, pour mieux la doser, je préfère la mélanger à de la vermiculite. Je dose à un gramme équivalent truffe fraiche par poignée comme ca, ça me permet de mettre une quantité connue et variable aux arbres en fonction de ce que j'estime necessaire.
L'eau? Il pleuvra bien un jour. En revanche, ça peut être utile pour favoriser l'adhésion de la,poudre aux paillettes de vermiculite.
Le moment le plus propice est en effet au moment du travail du sol.