Tu soulèves un réel problème h84, la pollution des cultures bio par les cultures conventionnelles. Que ce soit pour le miel, les pesticides qui sont emportés par le vent ou par l'eau, les gènes des OGM ou même les maladies ou les parasites.
Mais on n'a pas encore trouvé de solutions miracles.
Fred
Kill bees.
Modérateurs : jacques 37, galistruffe, phil, uncinat55
Bonsoir ,
Une abeille butine environ 2 kilomètre a la ronde , ce qui fait , je pense , 1200 ha ...
On peut penser que si les ruches sont dans une forêt d'acacia ou dans un champs de tournesol ou colza elles n'auront pas tendance a allez plus loin puisque la nourriture est a portée , mais en période de disette elles voleront plus loin pour trouver du nectar .
Difficile en effet d'expliquer aux abeilles ou elles doivent butiner et là ou elles ne doivent aller !!!
L'idéale est de leur trouver un coin tranquille et de les laisser peinard , quitte a moins récolter .
David
Une abeille butine environ 2 kilomètre a la ronde , ce qui fait , je pense , 1200 ha ...
On peut penser que si les ruches sont dans une forêt d'acacia ou dans un champs de tournesol ou colza elles n'auront pas tendance a allez plus loin puisque la nourriture est a portée , mais en période de disette elles voleront plus loin pour trouver du nectar .
Difficile en effet d'expliquer aux abeilles ou elles doivent butiner et là ou elles ne doivent aller !!!
L'idéale est de leur trouver un coin tranquille et de les laisser peinard , quitte a moins récolter .
David
Vous avez raison, la difficulté en apiculture est qu'on ne controle pas ou vont les abeilles.
C'est pour cette raison qu'il est impossible de mettre sur le marché un miel de lavande, tournesol, colza, toutes fleurs de provence .... sans une analyse des pesticides et autre produits indésirables qui pourraient s'y trouver, y compris produits de traitement varroa et antibios, il y a une analyse systématique par lots.... au moindre produit détecté le lot est refusé, s'il est refusé mais respecte les LMR il peut être commercialisé en "non bio".... on a toujours une épée de damoclès sur la tête.... mais au moins il y a une garantie pour le client.
L'autre problème est que les abeilles n'aiment pas l'eau "claire", elles préfèrent les lisiers ou les eaux "croupies" parce que plus riches en oligoéléments.... donc on a aussi un soucis avec les produits et antibios utilisés en élevage....
Moralité même dans les coins ou il n'y a que très peu d'agriculture on est à l'abri de rien.... perso j'ai choisi des emplacement le plus isolés possible, cevennes, garrigue natura 2000.... et je transhume au dernier moment sur acacia et lavande.... pour le reste c'est jouer à la roulette russe.....
En général ceux qui sont en bio ont leur emplacements dans des coins isolés, sinon c'est presque ingérable..... car le problème ce n'est pas seulement le miel, mais l'accumulation des produits phyto liposolubles dans les cires d'abeille, une fois que tu as ça dans ta ruche c'est foutu..... plus possible de faire du miel qui passe aux analyses.....
Pour la vente de pollen c'est encore plus restrictif, on a en plus une analyse pollinique..... pas de pollen de plantes cultivées dans les lots ....
joel
C'est pour cette raison qu'il est impossible de mettre sur le marché un miel de lavande, tournesol, colza, toutes fleurs de provence .... sans une analyse des pesticides et autre produits indésirables qui pourraient s'y trouver, y compris produits de traitement varroa et antibios, il y a une analyse systématique par lots.... au moindre produit détecté le lot est refusé, s'il est refusé mais respecte les LMR il peut être commercialisé en "non bio".... on a toujours une épée de damoclès sur la tête.... mais au moins il y a une garantie pour le client.
L'autre problème est que les abeilles n'aiment pas l'eau "claire", elles préfèrent les lisiers ou les eaux "croupies" parce que plus riches en oligoéléments.... donc on a aussi un soucis avec les produits et antibios utilisés en élevage....
Moralité même dans les coins ou il n'y a que très peu d'agriculture on est à l'abri de rien.... perso j'ai choisi des emplacement le plus isolés possible, cevennes, garrigue natura 2000.... et je transhume au dernier moment sur acacia et lavande.... pour le reste c'est jouer à la roulette russe.....
En général ceux qui sont en bio ont leur emplacements dans des coins isolés, sinon c'est presque ingérable..... car le problème ce n'est pas seulement le miel, mais l'accumulation des produits phyto liposolubles dans les cires d'abeille, une fois que tu as ça dans ta ruche c'est foutu..... plus possible de faire du miel qui passe aux analyses.....
Pour la vente de pollen c'est encore plus restrictif, on a en plus une analyse pollinique..... pas de pollen de plantes cultivées dans les lots ....
joel
bonjour à tous
un petit moment que je ne me suis pas exprimé sur le forum. je vous suis de loin en loin.
mais ce sujet me pousse à réagir. j'ai pas tous lu dans les détails, mais je pense avoir saisi un peu.
étant horticulteur, je me sens quand meme un peu agriculteur, meme si nous n'avons pas forcément les meme problemes et que certains d'entre eux ont du mal à nous reconnaitre comme tel.
depuis plus de 10 ans, je gère en "raisonné", un peu de chimie, beaucoup d'auxiliaires. par conviction personelle et par egoïsme (le pulverisateur à dos me le casse, le dos). c'est bien gentil de casser du sucre sur le dos des uns et des autres, mais faut quand meme savoir que la lutte intégrée, c'est pas gratos. losque j'étais en tous chimique, j'en avais pour moins de 500 € par an, la lutte intégrée me coute plus de 2000 €. encore heureux que je fasse de l'ornementale qui est encore assez rémunérateur.
une exemple : aujourd'hui, j'ai une explosion de pucerons dans mes serres (sont précoces les sales betes cette année). pour maitriser ça en integré, il me faudrait 10000 larves de chrysopes, cout : 120 € sans les frais de port efficacité sous 8 à 15 jours (pendant ce temps, je vend pas les plantes). en chimique, cout de l'operation 30 € (en comptant ma main d'oeuvre) et je vend les plantes au bout de 3 jours. cqfd...
de plus il faut savoir qu'en intégré, quand on réussi a maitriser un phytophage, un autre vient prendre sa place, la nature ayant horreur du vide. ça coute donc de + en + cher, puisqu'en plus de s'occuper des nouveaux, il faut continuer à controler les anciens.
en chimique on fait place nette, et on en parle plus. compte tenu du niveau de rémunération des agriculteurs aujourd'hui, je comprend que leur choix soit vite fait. mais si je ne les approuve pas, je ne les blame pas.
une autre chose qui me fait bondir, c'est qu'il faudrait peut etre arreter de faire croire aux consommateurs, que "bio", c'est respectueux de l'environnement. honnetement, je préfère acheter une poire qui vient du Loiret, meme si elle a été traitée et qu'elle a séjournée en frigo, qu'acheter une poire "bio" qui vient d'argentine et qui s'est tapée 10000 borne en avion.
maintenant pour aborder le chapitre ecolo.
quand on voit ce que nous a pondu le grenelle, je pense que là, honnetement, y avait matiere à faire des economies en se passant de ce genre de "sommet".
peu de gens le savent, mais ça l'horizon 2015, les cours d'eau devront avoir récupérer leur continuité, c a d que tous les ouvrages présent sur les rivieres et qui n'ont pas d'utilité economiques reconnues, devront etre détruits, surement aux frais des propriétaires. cela dans le but de retablir la libre circulation des poissons migrateurs.
ce qui veux dire, exit les chaussées des moulins, dont certaines existent depuis plus de 10 siecles, les digues des étangs et j'en passe. cela aura pour effet de transformer ces riviéres en caniveaux, avec plus aucune possibilité de réguler les crues l'hiver, et d'y garder de l'eau l'été.
encore faudrait il qu'il puissent y vivre les migrateurs, dans cette eau qui rejoindra la mer en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire.
je suis propriétaire d'un ancien moulin, je sais de quoi je parle. j'entretien mes berges et le fond de la riviere, j'amenage des caches pour que le peu de truites qui arrivent a passer à travers la foret d'hameçons des viandards de l'ouverture, puissent se planquer au moins, jusqu'a la ponte, je manoueuvre mes pelles tous les jours en hiver pour eviter que mes voisins en amont n'ai les pieds dans l'eau, je régule les débits en été pour que tous le monde puisse vivre de la riviere, riverains, faune et flore aquatiques. je me sens et je suis certainement plus ecolo que le plus vert des "ecolos ronds de cuir" et on voudrait me priver de ce qui fait le charme et l'utilité d'un moulin ??
l'écologie poour moi, n'a rien à voir avec le fait d'etre de droite ou de gauche, de manger bio ou de se soigner avec des plantes et des bains de siege. l'écologie pour moi, c'est faire attention a ce qui nous entoure, aller dans le sens qui permet a toute éspèce de vivre ensemble avec les contraintes et les besoins de chacun, quels qu'il soient.
en bref, il suffit pas de chier dans la sciure et de voter vert pour se sentir ecolo !!!
un petit moment que je ne me suis pas exprimé sur le forum. je vous suis de loin en loin.
mais ce sujet me pousse à réagir. j'ai pas tous lu dans les détails, mais je pense avoir saisi un peu.
étant horticulteur, je me sens quand meme un peu agriculteur, meme si nous n'avons pas forcément les meme problemes et que certains d'entre eux ont du mal à nous reconnaitre comme tel.
depuis plus de 10 ans, je gère en "raisonné", un peu de chimie, beaucoup d'auxiliaires. par conviction personelle et par egoïsme (le pulverisateur à dos me le casse, le dos). c'est bien gentil de casser du sucre sur le dos des uns et des autres, mais faut quand meme savoir que la lutte intégrée, c'est pas gratos. losque j'étais en tous chimique, j'en avais pour moins de 500 € par an, la lutte intégrée me coute plus de 2000 €. encore heureux que je fasse de l'ornementale qui est encore assez rémunérateur.
une exemple : aujourd'hui, j'ai une explosion de pucerons dans mes serres (sont précoces les sales betes cette année). pour maitriser ça en integré, il me faudrait 10000 larves de chrysopes, cout : 120 € sans les frais de port efficacité sous 8 à 15 jours (pendant ce temps, je vend pas les plantes). en chimique, cout de l'operation 30 € (en comptant ma main d'oeuvre) et je vend les plantes au bout de 3 jours. cqfd...
de plus il faut savoir qu'en intégré, quand on réussi a maitriser un phytophage, un autre vient prendre sa place, la nature ayant horreur du vide. ça coute donc de + en + cher, puisqu'en plus de s'occuper des nouveaux, il faut continuer à controler les anciens.
en chimique on fait place nette, et on en parle plus. compte tenu du niveau de rémunération des agriculteurs aujourd'hui, je comprend que leur choix soit vite fait. mais si je ne les approuve pas, je ne les blame pas.
une autre chose qui me fait bondir, c'est qu'il faudrait peut etre arreter de faire croire aux consommateurs, que "bio", c'est respectueux de l'environnement. honnetement, je préfère acheter une poire qui vient du Loiret, meme si elle a été traitée et qu'elle a séjournée en frigo, qu'acheter une poire "bio" qui vient d'argentine et qui s'est tapée 10000 borne en avion.
maintenant pour aborder le chapitre ecolo.
quand on voit ce que nous a pondu le grenelle, je pense que là, honnetement, y avait matiere à faire des economies en se passant de ce genre de "sommet".
peu de gens le savent, mais ça l'horizon 2015, les cours d'eau devront avoir récupérer leur continuité, c a d que tous les ouvrages présent sur les rivieres et qui n'ont pas d'utilité economiques reconnues, devront etre détruits, surement aux frais des propriétaires. cela dans le but de retablir la libre circulation des poissons migrateurs.
ce qui veux dire, exit les chaussées des moulins, dont certaines existent depuis plus de 10 siecles, les digues des étangs et j'en passe. cela aura pour effet de transformer ces riviéres en caniveaux, avec plus aucune possibilité de réguler les crues l'hiver, et d'y garder de l'eau l'été.
encore faudrait il qu'il puissent y vivre les migrateurs, dans cette eau qui rejoindra la mer en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire.
je suis propriétaire d'un ancien moulin, je sais de quoi je parle. j'entretien mes berges et le fond de la riviere, j'amenage des caches pour que le peu de truites qui arrivent a passer à travers la foret d'hameçons des viandards de l'ouverture, puissent se planquer au moins, jusqu'a la ponte, je manoueuvre mes pelles tous les jours en hiver pour eviter que mes voisins en amont n'ai les pieds dans l'eau, je régule les débits en été pour que tous le monde puisse vivre de la riviere, riverains, faune et flore aquatiques. je me sens et je suis certainement plus ecolo que le plus vert des "ecolos ronds de cuir" et on voudrait me priver de ce qui fait le charme et l'utilité d'un moulin ??
l'écologie poour moi, n'a rien à voir avec le fait d'etre de droite ou de gauche, de manger bio ou de se soigner avec des plantes et des bains de siege. l'écologie pour moi, c'est faire attention a ce qui nous entoure, aller dans le sens qui permet a toute éspèce de vivre ensemble avec les contraintes et les besoins de chacun, quels qu'il soient.
en bref, il suffit pas de chier dans la sciure et de voter vert pour se sentir ecolo !!!
Dernière modification par Neptune le 16 mars 2011 16:24, modifié 1 fois.
J'espère que certains d'entre vous ont regardé Arte hier soir et l'excellent film "du poison dans nos assiettes".
Si l'usage du raisonné à un cout pour l'agriculteur, l'usage des produits chimiques a lui aussi un cout pour la santé humaine des agriculteurs, des consommateurs et au final pour la société.
Fred
Si l'usage du raisonné à un cout pour l'agriculteur, l'usage des produits chimiques a lui aussi un cout pour la santé humaine des agriculteurs, des consommateurs et au final pour la société.
Fred
h84 ces debats me degoûtent ,l'autre jour les verts manifestaient pour interdire les retenues d'eau pour irrigations par des agriculteurs ,mais l'eau si tu la prends pas elle ne t'attend pas elle circule sans arrêt, l'eau que buvait les pharaons c'est la même que l'on boit ;arretons de dire que l'on gaspille ,même l'eau sous terraine circule par contre les verts je ne les aijamais entendus brâmer contre les reservoirs d'eau specialement conçus pour enneiger les pistes car la moitié des skieurs sont des ecolos bobos et remonter les pistes electriquement même si c'est de l'energie nucleaire celà ne les derangent pas car c'est pour le plaisir....ah le vieux est gonfle:D:D:lipssealed:
Bonsoir ,
David
Je me demande si ce n'est peut-être pas un avantage pour toi et les horticulteurs en général , car être agriculteur aujourd'hui est de plus en plus mal vue !!!étant horticulteur, je me sens quand meme un peu agriculteur, meme si nous n'avons pas forcément les meme problemes et que certains d'entre eux ont du mal à nous reconnaitre comme tel
David
-
Leromain84
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- Localisation : VAISON LA ROMAINE
QUAND IL Y A LE NETOYAGE DES RIVIERES POUR RETIRER TOUS LES DECHETS MIS PAR DEs SALOPARDS LES ECOLOS DE MA COMMUNE ON NE LES VOIENT PAS :ph34r:
Il y a que les pécheurs et qq chasseurs !
jm
Il y a que les pécheurs et qq chasseurs !
jm
VAUCLUSE PIEDS DU VENTOUX NORD
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
Fred, je n'ai pas regardé le reportage, masi je me doute de ce qu'il s'y est dit. c'est pas vraiment nouveau. je suis d'accord avec toi; mais tu ne peux pas demandé a un agriculteur, dont le revenu moyen en 2009 etait de 1200 € par mois ( et c'est une moyenne, on inclus dedans les horticulteurs, les gros agriculteurs, les arboriculteurs et d'autres metiers qui sont encore un peu rémunérateurs) de se priver encore plus pour les autres. quelqu'un qui a besoin de manger prendra des risques, meme si sa santé est en jeu.melano a écrit :J'espère que certains d'entre vous ont regardé Arte hier soir et l'excellent film "du poison dans nos assiettes".
Si l'usage du raisonné à un cout pour l'agriculteur, l'usage des produits chimiques a lui aussi un cout pour la santé humaine des agriculteurs, des consommateurs et au final pour la société.
Fred
ventre affamé n'a pas d'oreille et charité bien ordonnée commence par soi meme.
Arf, moi qui croyait que les pêcheurs et les chasseurs était un peu écolos vu qu'ils gèrent la nature. Je me faisais donc des illusions?QUAND IL Y A LE NETOYAGE DES RIVIERES POUR RETIRER TOUS LES DECHETS MIS PAR DEs SALOPARDS LES ECOLOS DE MA COMMUNE ON NE LES VOIENT PAS
Il y a que les pécheurs et qq chasseurs !
Ce que tu racontes n'a pas de sens. Quel que soit l'objectif, les agriculteurs n'ont pas ni à nous empoisonner, ni a empoisonner leurs terres.tu ne peux pas demandé a un agriculteur, dont le revenu moyen en 2009 etait de 1200 € par mois ( et c'est une moyenne, on inclus dedans les horticulteurs, les gros agriculteurs, les arboriculteurs et d'autres metiers qui sont encore un peu rémunérateurs) de se priver encore plus pour les autres. quelqu'un qui a besoin de manger prendra des risques, meme si sa santé est en jeu.
Le film est visible sur le net.
Fred
ça n'a peut etre pas de sens, mais c'est la triste réalité
donc selon toi, si il ne peuvent pas payer de quoi cultiver bio, ils n'ont qu'a arreter de produire et aller pointer, voire pire, ce qui arrive souvent malheureusement, se mettre la corde au cou !!!!melano a écrit :Ce que tu racontes n'a pas de sens. Quel que soit l'objectif, les agriculteurs n'ont pas ni à nous empoisonner, ni a empoisonner leurs terres.
Fred
Dernière modification par Neptune le 17 mars 2011 15:05, modifié 1 fois.
Je n'ai jamais dit ça. J'ai dit qu'il n'ont pas à nous empoisonner.
Déjà, en respectant les doses, en mettant leur matériel aux normes (pulvérisateurs, compteurs d'eau), en respectant les critères d'éco-conditionnalité on peut considérer que leur impact est faible et acceptable même s'ils ne sont pas en bio.
Fred
Déjà, en respectant les doses, en mettant leur matériel aux normes (pulvérisateurs, compteurs d'eau), en respectant les critères d'éco-conditionnalité on peut considérer que leur impact est faible et acceptable même s'ils ne sont pas en bio.
Fred
ah booon, dans ce cas, on est d'accord et on parle de la meme chose.
juste qu'on parlais pas la meme langue.
je suis pas pour le chimique mais souvent, ils ont pas le choix.
quant a la mise aux normes des pulvés et au respect des doses, beaucoup ont compris que c'était dans leur intéret et que ça leur faisait faire des économies.
j'ai un pote céréalier à qui je demandais pouurquoi il continuait le chimique au lieu de faire de l'integrée.
la réponse a été claire et nette. " le jour ou les auxiliaires me couteront moins cher que les bidons de saloperie, je m'y met aussitôt". et je suis sur que beaucoup sont du meme avis !!!!
juste qu'on parlais pas la meme langue.
je suis pas pour le chimique mais souvent, ils ont pas le choix.
quant a la mise aux normes des pulvés et au respect des doses, beaucoup ont compris que c'était dans leur intéret et que ça leur faisait faire des économies.
j'ai un pote céréalier à qui je demandais pouurquoi il continuait le chimique au lieu de faire de l'integrée.
la réponse a été claire et nette. " le jour ou les auxiliaires me couteront moins cher que les bidons de saloperie, je m'y met aussitôt". et je suis sur que beaucoup sont du meme avis !!!!
H84 question ,puisque vous faites passer les paysans pour les pires pollueurs,qui c'est le plus gros utilisateur de desherbant en france ????c'est la sncf eh oui !alors gouvernement de tout bord avec ministre ecolo,tous pareils ;nous agriculteurs on pollue tout, mais là personne ne le denonce ,comme les innondations de suite ce sont les agriculteurs avec leurs immense champs(qui sont là pour les nourrir)qui sont responsables ,mais ont ne dit rien sur ces immenses zones commerciale qui goudronné de partout noie tout le monde dés qu'il tombe 30 mm:sick:
Bonsoir ,
Les pulvérisateurs , atomiseurs , plateformes et élévateurs sont soumis a des contrôles technique obligatoires et payant , comme pour les voitures , avec contre visites , et non utilisation si ils ne sont pas mis aux normes .
Quand aux doses des phytos , c'est le deuxième poste des charges derrière la main d'oeuvre , alors tu as plutôt intérêt a respecter les doses si tu veux pas manger la boutique !!!! Certains traitements coûte plus de 1000 euros l'ha alors tu évites de doubler la dose !!!!
David
Les pulvérisateurs , atomiseurs , plateformes et élévateurs sont soumis a des contrôles technique obligatoires et payant , comme pour les voitures , avec contre visites , et non utilisation si ils ne sont pas mis aux normes .
Quand aux doses des phytos , c'est le deuxième poste des charges derrière la main d'oeuvre , alors tu as plutôt intérêt a respecter les doses si tu veux pas manger la boutique !!!! Certains traitements coûte plus de 1000 euros l'ha alors tu évites de doubler la dose !!!!
David