Kill bees.

Pour discuter comme au bistrot notamment de ce qui ne touche pas trop la truffe.

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david19
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Message par david19 »

la roténone a été utilisé par les indiens ,mais pas sur des fléches ,dans l'eau ,elles agit fortement sur les animaux à sang froid
Benoit , le problème n'est de savoir comment les indiens faisaient pour chasser mais de dire que ce produit , avant utilisé en bio et en jardinerie , est dangereux et a fini aussi classé en cancérigène .

David
Benoit
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Message par Benoit »

david19 a écrit :
E330 faussement classé comme le plus dangereux est l'acide citrique
ce qui revient à classer le jus de citron comme extrêmement dangereux
Oui , mais aujourd'hui , vu les quantité utilisée par l'agroalimentaire cela m'étonnerai que ce soit toujours a base de citron !!! Mais plutôt un savant mélange de chimie afin d'obtenir le même résultat et de diminuer les coûts .


David
l'acide citrique est un composé chimique ,=>pas un savant mélange de chimie
http://www.les-additifs-alimentaires.com/E330.php
l'acide citrique est d'une formule aussi simple que l'acide acétique (vinaigre blanc=acide acétique dilué )

je le dis et le répète ,cette liste de Villejuif et les infos incluses est un tissus de mensonge
comme la rumeur d'Orléans et autres rumeurs qui voyagent plus vite que le sens critique ou le bon sens


http://fr.wikipedia.org/wiki/Tract_de_Villejuif
Dernière modification par Benoit le 27 févr. 2011 22:10, modifié 1 fois.
Benoit
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Message par Benoit »

david19 a écrit :
la roténone a été utilisé par les indiens ,mais pas sur des fléches ,dans l'eau ,elles agit fortement sur les animaux à sang froid
Benoit , le problème n'est de savoir comment les indiens faisaient pour chasser mais de dire que ce produit , avant utilisé en bio et en jardinerie , est dangereux et a fini aussi classé en cancérigène .

David
?????cancérigéne ?????
es tu sur de cela ????
la roténone est SURTOUT un produit dangereux pour les animaux à sang froid ,paralyse respiratoire

je te copie l'article de wikipédia
indiques moi tes sources pour l'aspect cancérigéne de la roténone ,je veux voir !!!

Roténone
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Roténone
Roténone
Général
Nom IUPAC 1,2,12,12a-tetrahydro-8,9-dimethoxy-2-(1-methylethenyl-(1) benzopyrano (2,4-b) furo (2,3-h) (1)-benzopyran-6 (6H)-one
No CAS 83-79-4
No EINECS 201-501-9
SMILES
[Afficher]
C=C(C)[C@H]5CC1=C(C=CC4=C1O[C@@H]3COC2=CC(=C(C=C2[C@@H]3C4=O)OC)OC)O5
PubChem
[Afficher][Masquer]
InChI
[Afficher]
InChI=1/C23H22O6/c1-11(2)16-8-14-15(28-16)6-5-12-22(24)21-13-7-18(25-3)19(26-4)9-17(13)27-10-20(21)29-23(12)14/h5-7,9,16,20-21H,1,8,10H2,2-4H3/t16-,20-,21+/m1/s1
[Afficher][Masquer]
Apparence cristaux incolores.[1]
Propriétés chimiques
Formule brute C23H22O6 [Isomères]
Masse molaire[2] 394,4172 ± 0,0217 g·mol-1
C 70,04 %, H 5,62 %, O 24,34 %,
Propriétés physiques
T° fusion 165 à 166 °C[1]
T° ébullition 210 à 220 °C à 0,5 mmHg
Solubilité 0,2 mg·l-1 dans l'eau à 20 °C
Masse volumique 1,27 g·cm-3[1]
Pression de vapeur saturante <0,01 µbar à 20 °C
Précautions
Directive 67/548/EEC
Toxique
T

Dangereux pour l’environnement
N
[+]
Numéro index :
650-005-00-2

Symboles :
T : Toxique
N : Dangereux pour l’environnement

Phrases R :
R25 : Toxique en cas d’ingestion.
R36/37/38 : Irritant pour les yeux, les voies respiratoires et la peau.
R50/53 : Très toxique pour les organismes aquatiques, peut entraîner des effets néfastes à long terme pour l’environnement aquatique.

Phrases S :
S22 : Ne pas respirer les poussières.
S36 : Porter un vêtement de protection approprié.
S45 : En cas d’accident ou de malaise, consulter immédiatement un médecin (si possible, lui montrer l’étiquette).
S60 : Éliminer le produit et son récipient comme un déchet dangereux.
S61 : Éviter le rejet dans l’environnement. Consulter les instructions spéciales/la fiche de données de sécurité.
(S1/2) : Conserver sous clef et hors de portée des enfants.
S24/25 : Éviter le contact avec la peau et les yeux.
[+][–]
Phrases R : 25, 36/37/38, 50/53,
Phrases S : (1/2), 22, 24/25, 36, 45, 60, 61,
Transport
-
2588
[+]Numéro ONU :
2588 : PESTICIDE SOLIDE TOXIQUE, N.S.A.
[+][–]
SGH[3]
SGH06 : ToxiqueSGH09 : Danger pour le milieu aquatique
Danger
H301, H315, H319, H335, H410,
[+]H301 : Toxique en cas d'ingestion
H315 : Provoque une irritation cutanée
H319 : Provoque une sévère irritation des yeux
H335 : Peut irriter les voies respiratoires
H410 : Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets à long terme
[+][–]
Écotoxicologie
DL50 2,8 mg·kg-1 souris oral
0,2 mg·kg-1 rat i.v.
2,65 mg·kg-1 souris i.p.
LogP 4,10[1]
Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire.

La roténone est une molécule organique, naturellement produite par certaines plantes tropicales, qui est toxique pour de nombreuses espèces d'animaux à sang froid. Elle entre dans la composition de nombreux pesticides et insecticides.
Sommaire
[masquer]

* 1 Etymologie
* 2 Chimie
* 3 Composition
* 4 Aspect
* 5 Solvant
* 6 Réglementation
* 7 Histoire
* 8 Controverse sur la toxicité humaine et la maladie de Parkinson
* 9 Comment se protéger?
o 9.1 Pour l'agriculteur
o 9.2 Pour le consommateur
* 10 Ecotoxicité
* 11 Annexes
o 11.1 Notes et références
o 11.2 Articles connexes
o 11.3 Liens et documents externes
* 12 Voir aussi

Etymologie[modifier]

Le nom "roténone" vient de Roten, le nom japonais de la plante Derris elliptica Benth., (aujourd'hui Paraderris elliptica (Wall.) Adema). Il a été donné par le chimiste Nagai Nagayoshi qui a isolé cette molécule au Japon en 1902 [4].
Chimie[modifier]

La roténone a été isolée dans plusieurs espèces végétales qui toutes poussent sur des sols pauvres, généralement acides et en présence d’une atmosphère humide (75 % d'humidité minimum) :

* Derris elliptica Benth, Fabaceae, aujourd'hui Paraderris elliptica (Wall.) Adema, appelée Roten au Japon
* Lonchocarpus nicou D.C., Acesineae (liane) ; Geoffray a extrait la même substance dès 1895 et donné le nom de nicouline (Mc Ewen & Stephenson 1976). Cette plante porte les noms de Barbasco en Espagne, Cubé au Brésil, Intchipari en Amazonie.
* Tephrosia vogelii Hook.f., nommée Bois Poison en Afrique.

Mais il en existe 64 autres dans la famille des Fabaceae.
Composition[modifier]

* Carbone 70,4 %
* Hydrogène 5,62 %
* Oxygène 24,34 %

Aspect[modifier]

Poudre blanche cristalline.
Solvant[modifier]

La roténone est soluble dans l'acétone, le trichloréthylène, le chloroforme, certains solvants organiques mais non dans l'eau sous sa forme purifiée.
Réglementation[modifier]

Sur le plan de la réglementation des produits phytopharmaceutiques dans l’Union européenne, cette substance active est interdite à la suite de l'examen relatif à l'inscription à l’annexe I de la directive 91/414/CEE. La décision de la Commission européenne no 2008/317/CE du 10 avril 2008 demande à tous les États membres de retirer les autorisations des produits contenant de la roténone :

* à la commercialisation pour le 10 octobre 2008.
* à l'utilisation pour le 10 octobre 2009.

Par dérogation accordée par la Commission Européenne, la France bénéficie d'un délai supplémentaire pour des usages sur pommes, pêches, cerises, vigne et pommes de terre, en réservant l'emploi de la roténone aux utilisateurs professionnels munis d'un équipement de protection approprié. Le délai s'applique :

* à la commercialisation jusqu'au 30 avril 2011.
* à l'utilisation jusqu'au 31 octobre 2011.

Par l'avis publié au Journal Officiel de la République Française du 21 août 2008, la date limite d'écoulement des stocks en France a en fait été fixée :

* à la distribution au 15 mai 2009,
* à l'utilisation au 10 octobre 2009.

L'avis précise que, au cas où des alternatives en agriculture biologique ne seraient pas encore disponibles au 10 octobre 2008, certaines autorisations de mise sur le marché pourraient être maintenues au titre des usages essentiels jusqu’à homologation d’une solution alternative, et au plus tard jusqu’au 30 avril 2011. Les usages qui seront potentiellement maintenus sont les suivants (sous réserve des dispositions relatives aux LMR) : pomme, poire, cerise, pêche, vigne et pommes de terre; avec une dérogation limitée aux utilisateurs professionnels avec les équipements de protection appropriés.
Histoire[modifier]

Des plantes riches en roténone ont donc été utilisées et le sont encore pour les Nivrées (ou pêche à la nivrée) en Malaisie, en Afrique équatoriale et en Amazonie pour leurs vertus « ichtyotoxique » (qui tue les poissons).

Leur usage pourrait dater de plus de 2000 ans. Au Moyen Âge, les européens importaient via Venise, Gênes, Barcelone ou Marseille l’"Herbe Persanne" d'Indonésie ou de Malaisie en passant par le Moyen-Orient. Dès les années 1920, on en a fait une poudre insecticide (produite à raison de milliers de tonnes par an à partir de plantes cultivées au Brésil, Pérou, Congo belge, en Afrique équatoriale française, au Cambodge et en Indonésie néerlandaise. Les importateurs les plus importants étaient néerlandais et belges avant les États-Unis et la France). À partir des années 1945, le DDT ou l'HCH puis d'autres molécules insecticides ont remplacé la roténone. Puis pour des raisons environnementales (biodégradabilité), elle est à nouveau appréciée.
Controverse sur la toxicité humaine et la maladie de Parkinson[modifier]

L'administration par injection [5] chronique à de faible dose répétée de roténone provoque chez les rats la maladie de Parkinson[6]. À la différence de la plupart des substances neurotoxiques, la roténone possède une toxicité sélective pour les neurones producteurs de dopamine[7]. Sa toxicité proviendrait de son effet inhibiteur du complexe I de la chaîne respiratoire mitochondriale[8]. Elle est donc particulièrement utilisée pour comprendre les mécanismes de la maladie de Parkinson. Dans sa phase initiale, la neurotoxicité de la roténone n'entraîne aucun symptôme. Quand les premiers symptômes apparaissent, les dégâts sont déjà irrémédiables.

L'utilisation sans cesse croissante et banalisée de la roténone coïncide avec l'augmentation de cas de maladie de Parkinson[9]. D'autres insecticides (de synthèse ceux là) sont aussi montrés du doigt [10].

Le statut légal de la roténone en France ne tient pas compte de ces connaissances controversées. En effet, l'exposition normale des utilisateurs ne peut se faire que par inhalation ou ingestion. Dans ces cas là, la roténone est neutralisée par l'alcalinité de l'intestin, elle n'est pas transmise à la circulation sanguine et donc ne peut parvenir au cerveau.

Dans l'expérience de l'Université d'Emory, la roténone a été mélangée à des produits qui ne sont pas utilisés en agriculture et qui ont la propriété de favoriser la pénétration des molécules à travers les tissus. Néanmoins l'usage de pénétrants, adjuvant ajouté aux préparations commerciales, qui permettent de faire passer les molécules actives dans les plantes ou les insectes, peut avoir un effet similaire et augmenter considérablement la toxicité de la roténone.

L'objet de l'étude n'était pas d'incriminer l'utilisation agricole de la roténone dans le développement de la maladie de Parkinson. L'auteur précise d'ailleurs lui-même que la roténone a une toxicité faible quand elle est administrée par voie orale.

Le but du chercheur était simplement de trouver un moyen d'obtenir des rats atteints de la maladie de façon régulière pour mieux pouvoir étudier les lésions qu'elle provoque dans les tissus du cerveau.
Comment se protéger?[modifier]
Pour l'agriculteur[modifier]

Lutter contre les insectes passe d'abord par plusieurs actions préventives

* Faire des rotations pour casser les cycles des agresseurs, l'agriculture sans rotation n'a aucune béquille, les rendements peuvent décroitre de 10% à chaque succession de culture identique
* Assurer une présence d'auxiliaires, soit en entretenant des espaces naturels favorisant leur présence, soit en mettant directement ces insectes sur les parcelles. De nombreux auxiliaires sont disponibles à la vente, ils sont assez efficace si on respecte scrupuleusement les conditions d'emploi et que les infestations sont faibles. Néanmoins il n'existe pas d'auxiliaires contre tous les ravageurs, et leur protection est relative: quand on a affaire à des vecteurs de virus, la lutte chimique est la seule solution.
* Certains couverts inter-cultures ont un effet, positif ou négatif, sur les populations d'insectes ravageurs, il faut être vigilant dans le choix du couvert.

En cas d'infestation massive, il faut traiter ; de nombreuses préparations sont disponibles sur le marché, certaines sont utilisables en agriculture biologique (mais elles n'en sont pas pour autant sans danger pour l'environnement et l'utilisateur, qui doit se protéger, respecter les doses et les précautions d'emploi). Actuellement la roténone est interdite sauf quelques exceptions, provisoire, agriculture biologique, dans des cas particuliers, contre les insectes transmetteurs de virus (notamment les cicadelles) qui sont soumis à un contrôle obligatoire (il est par exemple obligatoire de traiter contre la cicadelle qui transmet la flavescense dorée de la vigne).

Hormis les OGM, aucune variété d'une plante n'ayant à la base aucun caractères de résistance aux insectes peut se prévaloir d'une résistance particulière aux insectes. Rechercher des variétés traditionnelles qui auraient une résistance aux insectes est illusoire, les rendements de l'agriculture après traitement étant tout simplement plus faibles, d'un facteur 3 à 10. Les variétés certifiées sont notées sur leur résistance aux virus, champignons et bactéries, mais jamais sur une illusoire résistance aux insectes.
Pour le consommateur[modifier]

L'usage de la roténone est à proscrire absolument, et de fait elle est interdite pour les amateurs. Bien qu'étant facilement dégradable par le soleil ou les bactéries du sol (comme la plupart des molécules phytopharmaceutique de synthèses et naturelles), elle possède une très bonne solubilité avec les graisses: elle est facilement absorbée par le corps et très difficile à éliminer. Classification: T : Toxique. R61 (cat. 2) : Risque pendant la grossesse d'effets néfastes pour l'enfant. R62 : Risque possible d'altération de la fertilité.
Ecotoxicité[modifier]

Son activité sur les insectes semble liée au blocage de la synthèse de l'ATP au niveau de la mitochondrie. Elle bloque le flux d'électrons entre les centres Fe-S et l'ubiquinone. La molécule étant instable dans l'eau et exposée à la lumière, elle se dégrade et perd sa toxicité avec le temps, plus ou moins vite selon l'environnement. Il semble que dans le cas des poissons, la roténone agisse dès le contact avec les branchies. Elle ne pénétrerait pas la chair, qui peut donc être consommée, d'autant que la cuisson dégrade la molécule.

Rituellement, les indiens wayana ne doivent pas boire une autre boisson que de l'eau réservée sur laquelle flotte des roseaux durant l'opération de la nivrée. Le sens donné à cet acte est-il uniquement symbolique (il s'agirait par une relation magique de faire en sorte que comme le roseau qui flotte, les poissons asphyxiés remontent et flottent aussi), ou la tradition indique-t-elle aussi qu'il ne faut pas boire l'eau empoisonnée par le suc des lianes utilisées pour tuer les poissons ?
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david19
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Message par david19 »

Autant pour moi c'est Parkinson pas le cancer .

Rotenone

David
Dernière modification par david19 le 27 févr. 2011 22:53, modifié 1 fois.
Benoit
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Message par Benoit »

FRED
je te demande instamment de lire

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tract_de_Villejuif

c'est une des rumeurs les plus connues ,basé sur le mystère des noms d'additifs ,nommé par des codes Exxx ,et véhiculé par la peur
cette liste est erronée ,elle a été démentie par l'hôpital de Villejuif
cette rumeur circule depuis les année 1970 ,on la photocopier à l'époque
ce post engage la responsabilité du forum
plusieurs marques de produit sont cités qui peuvent se retourner contre nous
alors que c'est des produits contenant de l'acide citrique !!!
Benoit
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Message par Benoit »

david19 a écrit :Autant pour moi c'est Parkinson pas le cancer .

Rotenone

David
là ,je suis d'accord
c'est quand même un produit dangereux pour la vie aquatique
qui ne sera plus autorisé
Benoit
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Message par Benoit »

truffalou a écrit :
je te prie de bien vouloir retirer ce post sur les colorants et l'hôpital de Villejuif
c'est une légende urbaine , autrement dit une rumeur ,un hoax Benoit
d'accord mais il faut retirer tout ce qui se dit sur les OGM bien que je sois pas pour pas plus que contre d'ailleurs
pourquoi ?
les OGM ,y a beaucoups de choses à en dire
pour moi c'est globalement mauvais et potentiellement dangereux ou risqué
mais il peut y en avoir de bons
:D
j'en ai pas trouvé de bons ,mais je cherche pas vraiement
lio07
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Message par lio07 »

bonsoir
je comprends plus la discution
on parle de produit dangereux ou de produit bio ou de produit bio dangereux pour la santé

lio07
Dernière modification par lio07 le 27 févr. 2011 23:44, modifié 1 fois.
lio07
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Message par lio07 »

je prends de l acide citique ( je presse un citron) quand j ai une crise de foie et j en mets sur ma truite avant de la mangé maintenant je dirai passe moi de l E 330 chéri :lol::sick:
si j achete des poires bio et que je les laisses fermentées et que je distille sa fait de l eau de vie bio et si je vais voire mon médecin est ce qu il me dira que ces pas dangereux car je l ai fait bio :lipssealed:
J Gravier
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Message par J Gravier »

Hé David, il faut savoir d'ou elles viennent les infos que tu nous donnes.... ces articles sont tout simplement ridicules.... vérifie tes sources....
Essaie de faire du bio, ensuite tu verras s'il est possible de tricher aussi facilement que ça..... je n'ai pas dit que c'était impossible....
Un exemple: admettons que j'ai un pépin sur mes ruches en 2011, presque pas de production de miel de lavande... je décide de tricher (après tout qui sais que j'ai eu un pépin)... j'achète du miel de lavande non bio, je l'étiquette sous un lot à part et je le donne à analyser, il peut très bien passer à l'analyse si l'apiculteur à qui je l'ai acheté est un type sérieux.... et j'ai réussi mon coup....
Ceci dit en BIO il n'y a pas de LMR pour les produits interdits en bio, il n'y a aucunes dérogations, tolérance zéro..... il y a une LMR pour les produits "bio"ce qui n'est pas du tout la même chose.... donc en admettant que le miel en question soit passé à l'annalyse, le client achetera au final un miel réellement bio... mais sans tout ce que ça suppose comme pratiques au niveau de la production.....

Tu peux penser ce que tu veux de la truffe bio, de l'huile d'olives bio ou de l'apiculture bio, y compris que c'est plus facile que pour les autres productions..... mon père a été maraîcher et fraisiculteur pendant 45 ans.... le jour ou il a pris sa retraite il a tenté le bio parce qu'il n'y avait plus d'enjeux financier pour lui, il n'a plus eu peur de perdre sa récolte, ..... aujourd'hui son jardin est traité totalement en bio et il est convaincu que ça fonctionne aussi bien, non pas sans traiter mais avec des produits de traitement différents, et bien sur des variétés différentes...

Globalement dans la vie on ne voit que ce que l'on veut bien voir, on trouve les arguments pour justifier sa position et forcement il y en a plein partout, surtout quand on a toute une corporation avec soi..... moi je me contente d'observer....
à coté de chez moi il y a un maraicher avec 15 ha en bio et ça marche très bien pour lui... quand je transhume mes ruches sur acacia je vais chez un producteur de noix qui a 40 ha de noix en bio.... ici dans le gard je suis chez un producteur d'amandes qui a 40 ha en Bio..... donc le bio s'adresse même à de grosses exploitations aujourd'hui.... parfois ils ont des "pépins" bien sur, moi aussi, mais on fait de l'agriculture, pas des produits manufacturés....

joel
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melano
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Message par melano »

+1 Joël, si le bio était si facile à faire, ils seraient en partie passés au bio niveau pommes du Limousin.

Chez moi, j'ai un agriculteur qui a 120 vaches blondes d'aquitaine qui est en bio sur plus de 100 Ha. C'est cool, tous les champs autour de chez moi sont gérés comme ça.

Moi même, même si je n'ai pas la certification je veille à n'utiliser que des produits et des méthodes validées par l'agriculture biologique. C'est pas simple mais c'est une philosophie.

Les détracteurs les plus virulents sont en général ceux qui seraient tentés d'y passer mais qui n'y arrivent pas. Ils disent alors qu'ils font du traitement raisonné mais ils utilisent alors pas mal de cochonneries issues de la chimie.

Fred
jacques 37
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Message par jacques 37 »

Bonjour à tous
Ça chauffe sur le Forum ...
Nouveau titre dans Libé ou le Monde !!!
Non, non, tout simplement expression libre sur notre Forum ....
Et c'est aussi cela les échanges.
Je vous livre sur ces débats animés un nouveau vecteur d'échanges :
http://noxmail.us/Syl20Jonathan/?p=17305

Notre poison quotidien "
sera diffusé le 15 mars sur ARTE, à 20 h 40
Jacques 37
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phil
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Message par phil »

salut
melano a écrit :Chez moi, j'ai un agriculteur qui a 120 vaches blondes d'aquitaine qui est en bio sur plus de 100 Ha. C'est cool, tous les champs autour de chez moi sont gérés comme ça
Tu as de la chance.
Les 3 ou 4 agriculteurs qui "tiennent" la quasi totalité des terres dans mon coin sont plutôt généreux niveau traitements phyto. Le pire c'est pour la vigne. Dès qu'il y a trois gouttes de pluie, le lendemain ça bombarde même s'il y a du vent (perso je fais rentrer les gosses tellement ça pue). Et pas la peine d'essayer de discuter avec eux, ce serait pire. C'est curieux car ils se sentent à la fois mal aimés et mal rétribués pour leur travail (qui est dur c'est vrai) et à la fois tout puissants car ils ont la main mise sur la terre (bien que très souvent elle ne leur appartienne pas puisqu'ils la louent). Mais ils ont vraiment la certitude que la terre est à eux à tel point que parfois ils exploitent des terres sans bail et sans prévenir le propriétaire ... Et puis il faut les voir spéculer surtout en ce moment avec la mise en place des PLU. Pression forte sur les maires, lobbying forcené pour le classement des terres dont ils sont propriétaires en constructibles, forcing pour déclasser les terres qu'ils louent en non constructibles pour qu'elles ne valent plus rien... Et après ils s'étonnent d'être mal vus. Ces exemples sont caricaturaux mais malheureusement vrais.
Je ne suis pas agriculteur et vous allez dire que je casse du sucre sur une profession qui est en difficulté en ce moment. Et pourtant je ne demande qu'à les soutenir. Il en va de notre autosuffisance alimentaire, de la gestion de l'espace rural, etc ... Il est normal que les paysans aient un accès facile à la terre et que les baux agricoles soient à leur avantages mais il y a tellement d'abus à ce niveau là. Je ne suis pas non plus un accro du bio mais parfois, force est de constater qu'il y a vraiment des abus dans l'utilisation des produits phyto (d'ailleurs ce sont parfois les paysans eux-mêmes qui paient le prix fort en s'exposant lors des traitements).
Je ne veux surtout pas faire de polémiques et j'ai peut-être une vision biaisée des choses à cause de quelques "gougnafiés" qui massacrent la terre dans mon petit coin de Quercy ...

A+
phil
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melano
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Message par melano »

Et puis il faut les voir spéculer surtout en ce moment avec la mise en place des PLU. Pression forte sur les maires, lobbying forcené pour le classement des terres dont ils sont propriétaires en constructibles, forcing pour déclasser les terres qu'ils louent en non constructibles pour qu'elles ne valent plus rien...
Puis, ils vendent leurs parcelles constructibles et ils sont les premiers à dire que tous les ans, les terres agricoles se rétrécissent à cause de la pression foncière...

Le beurre, l'argent du beurre et la crémière encore et toujours.

Fred
sergio
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Message par sergio »

je viens de rentrer ma bouillie bordelaise (culture biologique) et a première vue le soufre c'est pas top et ça disparait pas comme ça j'ais un collègue qui a fait une analyse de sol sur un prés ou il y avait de la vigne il y a 20 ans, le souffre est toujours la et pourtant c'est autorisé dans le bio, perso je suis producteur d'abricots pas bio, mais le débat peut etre très long et compliqué, qu'il en soit sur l'aspect visuel du produit qui repousserait plus d'un consommateur qui achète souvent avec les yeux, sur la quantitée produite qui pourrait faire monter le prix des fruits et légumes en flèches alors que déja beaucoup de consommateur sans plaigne sans connaitre le cout de la production, et sur la conservation des fruits et légumes qui obligerais a tout vendre d'un coups se qui poserait également de gros problème, alors oui pour le bio mais si tout le monde y passe je sais pas trops ce que ça va donné, et je pense que certain fruits et lègumes sont peut etre plus facile a gérer en bio en ce qui concerne l'abricot je connais mieux si l'on avait pas des traitement de conservasion comme dans les autres produits et que les abricots pourrisent 3 jours après la récolte ou meme avant en cas de pluie, je ne vois pas toute la production ce négocier en trois jours, ce serais une catastrophe, mais enfin on pourrais en parler des jours, perso c'est un peut pour ça que je commence a passer des terres en truffes car au moins la je sais que je peut faire zéro traitement
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