Récapitulatif d'apports sporal et associés
Modérateurs : jacques 37, galistruffe, phil, uncinat55
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je pense quand même qu'il faut rester " les pieds sur terre " et ne pas toujours chercher les trucs les plus extra ordinaires ...les spores de truffes si minuscules soit-elle ne se volatilisent pas comme ça ou ne sont pas emportées systematiquement par les eaux de pluies en ce qui concerne la surmyco sur des plants déja en terre donc ! la vermiculite est surement trés utile pour mettre sur des plants dans des godets ou le substrat est trés aéré donc filtrant ..... mais si vous avez de la terre avec des taux dépassant les 20% d'argile + les limons , il me semble que du sable fin doit pouvoir faire pour la préparation du mélange sporal ....
parceque si on va vers les extremes on arrive ça : la plupart des blés sont traités GAUCHO qui comme tout le monde doit savoir migre dans la sève pour détruire les eventuels prédateurs de la plante une partie de ce produit se retrouve donc dans le son (dans le pain qu'on mange aussi d'ailleurs ).....alors si c'est pour tuer toute la micro faune tant indispensable pour les truffières ou est le mieux dans tout ca ????
parceque si on va vers les extremes on arrive ça : la plupart des blés sont traités GAUCHO qui comme tout le monde doit savoir migre dans la sève pour détruire les eventuels prédateurs de la plante une partie de ce produit se retrouve donc dans le son (dans le pain qu'on mange aussi d'ailleurs ).....alors si c'est pour tuer toute la micro faune tant indispensable pour les truffières ou est le mieux dans tout ca ????
jclo ,ton point de vue est très intéressant
je n'avais jamais pensé à un risque chimique avec le son
il y a donc plusieurs solutions avec des avantages et des inconvenients
arrosage sporal liquide ?
vermiculite sporée ?
vermiculite sporée sucré ?
sable sporé ?
son sporé ?
pourquoi pas aussi du terreau stérilisé puis sporé ?
j'ai gardé le substrat usagé de phase I de mon essaie de plants fermier ,il contient de la vermiculite de la perlite et du terreau ,j'ai bien envie de m'en servir
je n'avais jamais pensé à un risque chimique avec le son
il y a donc plusieurs solutions avec des avantages et des inconvenients
arrosage sporal liquide ?
vermiculite sporée ?
vermiculite sporée sucré ?
sable sporé ?
son sporé ?
pourquoi pas aussi du terreau stérilisé puis sporé ?
j'ai gardé le substrat usagé de phase I de mon essaie de plants fermier ,il contient de la vermiculite de la perlite et du terreau ,j'ai bien envie de m'en servir
Dernière modification par Benoit le 24 févr. 2011 13:40, modifié 1 fois.
Je suis convaincu de l'intérêt des apports de truffes broyées sur les jeunes plantations.
J'en veux pour preuve de nombreuses observations:
- l'exemple de Jérôme avec son chêne blanc et ses 16 kg de truffes.
- Un copain dans l'Aude avait eu la même agréable surprise avec un tilleul qui n'avait jamais été récolté pendant des années: résultat la première année 635 truffes pour un poids total d'une quinzaine de kg.
- Deux vieux caveurs très expérimentés (plus de 80 ans) de mon secteurs attribuent la baisse de production en sauvage aux prélèvements excessifs.
Ils me disaient que la fermeture du milieu et les changements climatiques n'expliquaient pas tout. Sur une commune ou le milieu avait été préservé ( présence continue de troupeaux de moutons) cette baisse était identique aux environs qui s'étaient fermés.
Dans notre secteur ils me disaient qu'il y avait énormément de truffes il y à 50 ans et qu'ils n'étaient que 4 ou 5 à récolter d'une manière suivie avec des chiens sur deux cantons. Ils commençaient la cueillette à mi décembre quand un courtier assurait le ramassage pour arrêter à mi février. D'après eux la fréquence des visites de truffières était de l'ordre de 10 à 15 jours. Ce qui laissait une part considérable de truffes dans le sol qui assuraient la pérennité de l'espèce. Aujourd'hui les truffières connues sont visitées 3 fois par jour!
- Jacques Martin pépiniériste expérimenté à qui javais fait la remarque me disait qu'il avait deux exemples qui allaient dans le même sens.
Un trufficulteur qui avait ses plantations en altitude limite et qui était gelé une saison sur trois ou quatre et qui maintenait de ce fait des productions importantes les années plus clémentes.
Une autre de ses connaissances procédait à une rotation des récoltes avec la même réussite. Sur 4 parcelles il n'en récoltait que 3 et laissait volontairement la quatrième pour qu'elle se réensemence.
- Jérôme Galis qui assure de très bonnes récoltes remet 2 kg hectare de broyat par an. Idem pour Joël Gravier.
- Les Espagnols ou les méthodes Ribes- Wolner apportent aussi du broyat.
Tout semble bien se recouper pour mettre en évidence la nécessité de ne pas laisser le milieu s'appauvrir indépendamment de de la manière de procéder.
J'en veux pour preuve de nombreuses observations:
- l'exemple de Jérôme avec son chêne blanc et ses 16 kg de truffes.
- Un copain dans l'Aude avait eu la même agréable surprise avec un tilleul qui n'avait jamais été récolté pendant des années: résultat la première année 635 truffes pour un poids total d'une quinzaine de kg.
- Deux vieux caveurs très expérimentés (plus de 80 ans) de mon secteurs attribuent la baisse de production en sauvage aux prélèvements excessifs.
Ils me disaient que la fermeture du milieu et les changements climatiques n'expliquaient pas tout. Sur une commune ou le milieu avait été préservé ( présence continue de troupeaux de moutons) cette baisse était identique aux environs qui s'étaient fermés.
Dans notre secteur ils me disaient qu'il y avait énormément de truffes il y à 50 ans et qu'ils n'étaient que 4 ou 5 à récolter d'une manière suivie avec des chiens sur deux cantons. Ils commençaient la cueillette à mi décembre quand un courtier assurait le ramassage pour arrêter à mi février. D'après eux la fréquence des visites de truffières était de l'ordre de 10 à 15 jours. Ce qui laissait une part considérable de truffes dans le sol qui assuraient la pérennité de l'espèce. Aujourd'hui les truffières connues sont visitées 3 fois par jour!
- Jacques Martin pépiniériste expérimenté à qui javais fait la remarque me disait qu'il avait deux exemples qui allaient dans le même sens.
Un trufficulteur qui avait ses plantations en altitude limite et qui était gelé une saison sur trois ou quatre et qui maintenait de ce fait des productions importantes les années plus clémentes.
Une autre de ses connaissances procédait à une rotation des récoltes avec la même réussite. Sur 4 parcelles il n'en récoltait que 3 et laissait volontairement la quatrième pour qu'elle se réensemence.
- Jérôme Galis qui assure de très bonnes récoltes remet 2 kg hectare de broyat par an. Idem pour Joël Gravier.
- Les Espagnols ou les méthodes Ribes- Wolner apportent aussi du broyat.
Tout semble bien se recouper pour mettre en évidence la nécessité de ne pas laisser le milieu s'appauvrir indépendamment de de la manière de procéder.
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Pour le son sporé on doit bien en trouver non traité au Regent ou Gaucho qui nous tuent tout les abeilles et même les vers de terres et la micro et méso faune .
Du son bio doit bien se trouver ? celui que l'on donne au poule .
tuber 11 tu dis de bonnes choses, on tire trop sur les truffières , moi qui n'est jamais ensemencé jusqu'à l'an passé au boutde 30 j'arrache mes arbres car devenus improductifs. Dans 5 ans je vais de nouveau récolter puisque avec les nouveaux pubescents
:/
chez moi s'ils produisent à 10 ans une belle mélano comme aujourdui je signe de suite...
mais je préfère les chênes verts malgré tout ils virent moins à la brumale et les années de sécheresse ils sont plus performant.
jm
Du son bio doit bien se trouver ? celui que l'on donne au poule .
tuber 11 tu dis de bonnes choses, on tire trop sur les truffières , moi qui n'est jamais ensemencé jusqu'à l'an passé au boutde 30 j'arrache mes arbres car devenus improductifs. Dans 5 ans je vais de nouveau récolter puisque avec les nouveaux pubescents

chez moi s'ils produisent à 10 ans une belle mélano comme aujourdui je signe de suite...
mais je préfère les chênes verts malgré tout ils virent moins à la brumale et les années de sécheresse ils sont plus performant.
jm
Dernière modification par Leromain84 le 24 févr. 2011 19:16, modifié 1 fois.
VAUCLUSE PIEDS DU VENTOUX NORD
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
Bonsoir ,
Bien sur que l'on trouve du son propre , pas besoin de chercher du " bio " , moi j'ai lu que là ou il y avait de la vermiculite il y avait de l'amiante !!!! alors il faut arrêter de psychoter sinon il vaut mieux se pendre , perso je préfère le son parce la vermiculite n'a rien a faire dans une truffière . Maintenant chacun fait comme il veux
David
Bien sur que l'on trouve du son propre , pas besoin de chercher du " bio " , moi j'ai lu que là ou il y avait de la vermiculite il y avait de l'amiante !!!! alors il faut arrêter de psychoter sinon il vaut mieux se pendre , perso je préfère le son parce la vermiculite n'a rien a faire dans une truffière . Maintenant chacun fait comme il veux

David
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non pas vraiment jm apres une a deux années elle retourne a son etat naturel assez compact .si tu veux aérer utilise perlite bien plus efficasse ou mieux encore des graviers grains de riz de nos carrierre ( chateau neuf ou cairane par exemple ) qui en plus de t apporter de la souplesse apporteront du calcaire pour 10 a 15 ans jeromeLeromain84 a écrit :l'apport de vermiculite assoupli et décompacte le sol.
jm
perso aujourd'hui premier essai de grelinette sur un sauvage en baisse de production mais très grans brulé 1h30 non stop pour faire tout le brulé a la grelinette et ensuite apore de truffe avec vermiculite et miel sur une centaine de jeune et de vieux pioché 50 jeunes de 4 ans coupé les racines un peut comme a expliqué joel mais avec une pelle beche et essai de piège a truffe une 50 aine sur des producteurs et non producteurs je suis fraccassé, je vais atendre quelques jours pour m'attaqué aux autres
26 drome
un peu trop d'humidité et de froid pour l'instantstef@ a écrit :Bonsoir à tous
n'est ce pas trop tôt de travailler les bruler productif ?
perso je vais attaquer mi mars mais si il n'y a pas de contre indication je signe dés maintenant ?
A+ stef
j'attends aussi
c'est quand la vieille lune de mars ?
à partir du 20 mars ou à partir du 26 mars ?
Dernière modification par Benoit le 26 févr. 2011 08:50, modifié 1 fois.
moi je vois que les deux frangins en italie on des bon résultat et que dans le périgord les truffièrre non jamais autant donnée que lorsque qu'il ramassait a la pioche a la noel alors et en ce qui concerne mars on a environ 15 jours d'avance sur la floraison des abricotiers il ni a pas que la date du calendrier qui compte c'est la nature qui décide en plus chez moi ce n'est que du sable donc pas trops humide c'est comme si on devait tailler tout les arbres fruitiers en mars
:wacko:

26 drome
Houlà, de la récolte à la pioche en Périgord? J'aimerai bien que tu me cites tes sources car il me semble que c'était surtout le cochon qui était utilisé par chez nous. Bon, ça laboure bien cet animal mais la pioche, jamais entendu parlé.et que dans le périgord les truffièrre non jamais autant donnée que lorsque qu'il ramassait a la pioche a la noel
Perso, si ce n'était pas si mouillé, j'aurai déjà attaqué le travail du sol.
Fred